tête de mow!

Publié le 10 juin 2010 par Hoplite

Une nouvelle police pour les quartiers

"Les Cadets de la République travailleront en pleine collaboration avec les Services de Sécurité des quartiers afin de prévenir toute nouvelle provocation de la part des Souchiens encore présents" a annoncé Brice Hortefeux.

C'est avec un soupir de soulagement que l'on a appris hier la nomination de M. Brice Hortefeux au poste de Président du Comité d'Homogénéité Ethnique (Komitomet). Cet ancien Ministre de l'intérieur fut en 2009 à l'origine des Équipes de conciliation mises en place dans les Zones Sensibles à la suite des premières tensions entre Souchiens et jeunes comme on disait alors (NDLR : l'art. 2 de la loi 98.2015 du 12 janvier 2015 dite de la Rectification des Noms impose de nommer nos compatriotes issus de l'immigrations "Commensaux" et les blancs des Quartier "Souchiens" sous peine d'un an d'emprisonnement - loi votée à l'initiative du Ministre Des Rééquilibrages ethniques, Mme Houria Bouteldja). Devant leur manque d'efficacité, ces équipes furent remplacées par des Milices pour le Respect et la Discussion encadrées par des éducateurs sociaux issus de la diversité et chargées de faire tampon entre la Police et les Commensaux.

Enfin après l'arrivée au pouvoir de Mme Royal en 2012, ces Comités furent intégrés dans les fameuses Sections de sécurité Tête de Mow à qui le gouvernement délégua purement et simplement le maintien de l'ordre des Quartiers. Ces Sections trouvent leur origine dans les gardes du corps du Ministre Fadela Amara dont elle s'entourait à chaque déplacement dans les quartiers.  Triés sur des critères ethniques et cultuels très stricts :

- production d'un arbre généalogique faisant état des ancêtres repérables à partir de 1974,

- études primaires exclusivement en ZEP avec au moins trois redoublement entre le CP et le CM1,

- copies certifiées conformes d'au moins 10 convocations devant le juge des mineurs du Tribunal de Bobigny,

Ces troupes d'élites immergées depuis toujours dans les Cités surent très vite imposer leur loi aux Quartiers. Cette politique audacieuse de maintien de l'ordre s'était accompagnée en 2015-2016 d'un vaste programme de Neutralisation des Zones Sensible (Conférence et Protocole de Bagnolet de septembre 2015).

Ainsi le Plan Madagascar en décembre 2015 avait permis l'évacuation de la majorité des Souchiens hors des Zones. Il restait néanmoins quelques représentants de cette communauté (5% de la population) qui, soit faute de moyen, soit infirmités physiques, soit volonté de provocation n'avaient pu ou voulu être évacués.

Ces minorités ethniques regroupées en Communauté des Derniers Français de Zones Sensibles (CDDFZS) comme elles se nommaient elles-mêmes persistaient à afficher leur appartenance à la France et ce en dépit du Protocole de Bagnolet.

Les termes de cet accord prévoyaient en effet :

- le retrait total de tout représentant et de tout symbole de l'Etat français dans 30 Zones Sensibles,

- la destruction des chapelles et églises catholiques, temples protestants et synagogues,

- la construction de mosquées à minaret et muezzin pour 1000 habitants,

- l'affectation des locaux occupés des écoles publiques aux écoles coraniques sous contrat avec l'Etat,

- l'autonomie politique des Zones et leur Administration par les Comités de quartier présidés par un Imam et un Marabout.

Les activités économiques étaient, quant à elles, confiées par le gouvernement à la N'drangheta (banlieue parisienne), la Camorra (banlieue lilloise), les Triades (Marseille et banlieue) et la Mafia albanaise (banlieue lyonnaise). L'efficacité de ces organisations internationales permit à l'économie de ses Zones de passer du stade de bordel de brousse à celui d'Eros Center munichois.

En échange les autorités politiques et religieuses des Zones assuraient la sanctuarisation des Zones Économiques Prioritaires françaises (centres villes, zones nucléaires, zones touristiques, patrimoine historique et culturel) dont elles s'interdisaient toute violation. Cet accord gagnant-gagnant selon les termes de la Présidente Royal, se heurta à l'opposition de quelques irréductibles restés sur place.

Drapeaux français ostensiblement levés au son de l'accordéon, refus de la Burqa, tubes de Michel Sardou poussés à fond les jours de Ramadan, barbecue de saucisses sur les balcons : tout était bon aux derniers Souchiens pour témoigner leur attachement à une présence française dans des Zones qui ne la permettaient plus légalement. Certains extrémistes étaient même parvenus à installer dans les caves des chapelles de la Fraternité Saint Pie X où l'on y célébrait la Messe en latin. Face à ces provocations, toute étincelle était susceptible de mettre le feu aux poudres et risquait de mettre en cause le Protocole de Bagnolet Ce fut le cas en 2017 lorsqu'un vieux Souchien refusa de se découvrir et de changer de trottoir lors du passage d'une Section de sécurité Tête de Mow (Division à cheval "Nique ta Mère") chargée de sécuriser le ghetto des Muraux. Il s'en suivit 10 jours de pogroms qui firent 3.000 victimes parmi les Souchiens et 2000 véhicules brûlés. On attendait donc une initiative du gouvernement Attali pour éviter que de tels débordements ne se renouvellent.

C'est chose faite avec la création du Comité d'Homogénéité ethnique chargé notamment du nettoyage des dernières poches de résistance. Ce Comité sera doté de deux bataillons de forces de l'ordre puisés dans les Militants Réseau Education Sans Frontière, Droit Au logement et Enfants de Don Quichotte,  encadrés par les sections spéciales des Cadets de la République. De jeunes militants blancs du MODEM et d'Europe écologie seront chargés sur place de faciliter les transferts des populations âgées. On a estimé en effet que la confiance de ces populations arriérées se gagnerait plus aisément par ce truchement.  C'est cette même politique de mise en confiance des cibles qui avait permis d'emmener aux Centres d'Abrègement de la Vie les retraités de la classe 2014, première classe de vieillards à expérimenter la loi 102.2014 du 2 janvier 2014 dite loi Attali sur le Droit à une Mort Digne et Utile au Bien Commun.

M. de Villiers est pressenti comme super préfet chargé des opérations de police et de maintien de l'ordre. Seule réaction négative, celle de Marine Le Pen en cure de désintoxication à la clinique Boris Elsine de Moscou. De son exil russe, la Présidente du Parti National Bolchévique (ex Front national) s'est dite consternée de voir se mettre en place dans les Zones ce que les Nazis avaient mis en place dans les ghettos juifs :

"M. Hortefeux et son âme damnée Villiers ne sont plus à un revirement près. Ce Comité n'est ni plus ni moins l'équivalent des Judenrat de Pologne présidés par des Juifs sous les ordre des Allemand et destinés à faire sale boulot pour eux".

Le blog de TODOMODO

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Illustration de ce comportement extrémiste de souchiens arriérés au comportement inexpliquablement nauséabond:

"Un couple agressé

Jarville-la-Malgrange. Dimanche, peu avant 21 h, un couple a été pris à partie au pied de son immeuble, rue Charles-Gounod, dans le quartier de la Californie à Jarville.

Agé de 53 ans, cet ancien fonctionnaire de la SNCF, reconnu handicapé à 80 %, écoutait, comme il le fait régulièrement, de la musique dans sa voiture. « Je fais actuellement des travaux dans l'appartement. Il vient s'isoler un peu au calme », explique son épouse, âgée de 45 ans, aide-soignante à l'hôpital de Saint-Nicolas-de-Port.

Roué de coups

Deux jeunes filles, « âgées de 14-15 ans », passent alors à proximité du véhicule, « et l'insultent ». L'homme les regarde fixement. « J'ai voulu ensuite aller les voir pour savoir ce qui se passait et surtout leur dire que je n'étais pas de leur âge et qu'elles devaient rester correctes avec moi », explique la victime. C'est visiblement cet échange qui a tout fait dégénérer. « Elles sont parties en courant et en criant, puis sont allées chercher leurs frères et leurs familles.

Un homme lui a asséné un premier coup de poing au visage, puis cinq ou six jeunes, âgés de 16 à 26 ans, lui sont tombés dessus et l'ont roué de coups », explique l'épouse, qui, en tentant de les séparer, n'a pas été épargnée non plus : deux jours d'ITT lui ont été délivrées. Et d'ajouter : « Quand je suis descendue, j'ai crié mais personne n'a voulu appeler la police. Plus loin, les parents et les grands-parents les regardaient faire. C'est honteux ».

Alertées par un voisin, les forces de l'ordre sont finalement intervenues et ont fait les premiers constats. Transporté aux urgences, l'homme souffre d'une luxation au niveau de la hanche, de brûlures aux coudes, de multiples hématomes. Il doit par ailleurs passer de nouveaux examens pour des douleurs persistantes au niveau des cervicales. Une ITT de trois jours lui a été délivrée.

« On est un couple mixte [lui européen, elle maghrébine] et on sait que ça ne plaît pas à tout le monde. Nos enfants sont régulièrement insultés. Nous n'avons pourtant jamais eu aucun problème avec qui que ce soit dans le quartier », conclut cette mère de famille qui avoue « ne plus se sentir en sécurité chez elle »." (source)