« Islam, islamisation et Vérité éternelle absolue » [Version finale]

Publié le 04 août 2010 par Raoul Sabas

Le 4 août 2010  

Objet :

« Islam, islamisation et Vérité éternelle absolue »

Monsieur Claude Dilain

Maire

Hôtel de ville

58, allée Auguste Geneviève

93390 Clichy sous Bois

Monsieur,

Je ne peux laisser passer sans réagir très vivement votre propos politiquement correct tenu durant votre récente intervention au micro des soi-disant « Grandes Gueules » de RMC Info.

Vous avez laissé entendre, en effet, que l’ « islamisation » de la France - un phénomène croissant durant les trente dernières années - était une chose allant de soi, puisque vous avez déclaré : « L’islam a toute sa place dans la République. »

Toutefois, sans réfuter à quelque religion que ce soit le droit de faire entendre « sa » croyance  superstitieuse sur notre territoire, votre âge ne vous permet pas d’ignorer quelle était exactement la place de la superstition musulmane dans la République française avant 1981, autrement dit avant l’arrivée au pouvoir de François Mitterrand avec sa cohorte de menteurs et de « croyants au miracle », ainsi que vous le trouverez établi dans l’abondante correspondance annexée pour situer la responsabilité de la gauche en général, et du Parti socialiste en particulier, quant à l’état  de la France d’aujourd’hui en matière d’immigration  et de religion, islam notamment, trente ans plus tard.

L’ensemble de ce courrier dénonce nommément, en effet, les soi-disant « élites » d’aujourd’hui pour avoir fait de la France, non seulement une terre d’islam, dont nos aïeux n’ont pas voulu dès l’an 732, comparable à l’Espagne médiévale où déjà une telle cohabitation posait problème, ainsi que l’atteste la reconquista d’alors, mais également « un pays de merde, dans un monde de TARÉS », du seul fait de colporter sciemment les mensonges et les « croyances au miracle » du penser superstitieux dans ses divers modes d’expression, sans avoir jamais eu l’honnêteté et le courage intellectuels de débattre sur le fond depuis plus de dix ans - à l’exemple de ces prétendues « Grandes Gueules », précisément !

Vous trouverez mon argumentation amplement exposée dans ma lettre accusatrice adressée le 15 dernier au Parti socialiste en envoi recommandé avec accusé de réception, mais je doute que ses représentants nommément désignés fassent preuve, aujourd’hui plus qu’hier, d’honnêteté et de courage intellectuels pour répondre sur le fond, c’est-à-dire osent confronter leurs points de vue relatifs partisans à LA Vérité éternelle absolue au lieu de continuer à fonctionner sciemment sur leur seul penser superstitieux.

Le penser superstitieux avec son dualisme des absolus - une impossibilité absolue par définition, philosophiquement parlant ! - se manifeste dans la religion, toutes les religions sans exception (monothéistes ou non), dans la métaphysique (matérialisme, ou scientisme, et idéalisme, ou pseudo-spiritualisme), dans l’idéologie, toutes idéologies confondues, et dans le moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale : LAQUELLE ?], tous catéchismes réunis, et notamment le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration prétendument universelle des droits de l’homme de 1948 - puisque signée par seulement quarante-huit États sur les presque deux cents que compte aujourd’hui la planète ! -, dont seule l’inobservation est réellement universelle – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d’établir le contraire à l’aune du devenir du monde depuis bientôt soixante-deux ans !

Et devrait-elle être adoptée - un jour ! – par la totalité des États de la planète sans une seule exception, elle n’en demeurerait pas moins un catéchisme, autrement dit un ramassis de vœux pieux censés permettre de transposer l’Idéal dans la réalité quotidienne du monde : vous avez dit « Idéal » ? ! Oui, mais seulement le vôtre, assurément : celui des « croyants au miracle », pas l’Idéal « en soi », dont nul humain ne saura jamais rien, hormis les conceptions anthropomorphes partisanes, donc relatives, que chacun s’en forge à titre individuel ou collectif - sauf encore à vous-même ou à quiconque de démontrer le contraire !

Vous seriez, du reste, le premier et le seul jusqu’ici à oser répondre sur le fond, c’est-à-dire à soulever d’éventuelles objections tout à fait légitimes pour peu qu’elles soient étayées par des arguments intellectuels et philosophiques démontrant que LA Vérité éternelle absolue se  trouve effectivement dans le camp de tous les utopistes ou idéalistes dans votre genre, à savoir tous ces gauchistes, tous ces communistes, tous ces socialistes, syndicalistes, écologistes et autres associatifs, qui font ou laissent croire en leur pouvoir de transposer l’Idéal dans le quotidienDEMAIN, toujours DEMAIN et seulement DEMAIN, à la saint Glinglin ! -, alors qu’ils ne sont même pas capables de s’entendre entre eux. C’est assurément une excellente raison de se livrer sciemment à une surenchère de mensonges, de « croyances au miracle » et de condamnations moralisatrices partisanes devant l’opinion !

Je n’entends pas toutefois reprendre ici l’intégralité de mes arguments intellectuellement et philosophiquement étayés contre la Superstition sous toutes ses formes, et je me borne donc à établir le fondement de mes accusations dénonçant le penser superstitieux qui, compte tenu de ce qui précède, base ses condamnations moralisatrices partisanes uniquement sur des catéchismes, dont aucun ne sera jamais l’expression de LA Vérité absolue.

Persister à le croire, et surtout à le faire croire, c’est établir, on ne peut mieux, la « débilité intellectuelle » de notre époque obscurantiste, puisque privilégiant la Foi, les croyances au miracle, sur la Raison, les démonstrations more geometrico, comme toutes celles aussi obscurantistes qui l’ont précédée. Mais il ne vous est pas interdit, évidemment, de démontrer la fausseté de mes affirmations sur des points très précis de désaccord, qui ne sauraient être de simples détails à l’usage de mon argumentation - sans refuser pour autant, bien entendu, de m’engager dans quelque controverse que ce soit, y compris de forme !

D’ici votre démonstration contraire, tous ces menteurs continueront à promettre de changer le monde, c’est-à-dire d’en faire un monde idéal, parfait, un « paradis » en somme, sans en .avoir la même conception et la manière d’y parvenir - forcément, puisque cette utopie demeurera un « mirage » jusqu’à la fin des temps, et c’est seulement sur ce mensonge que se fondent tous les menteurs pour s’arroger le « monopole de la vertu » !

Ils deviennent « vertueux », alors même qu’ils trompent et manipulent sciemment l’opinion, du seul fait de promettre la lune en profitant de la crédulité naturelle des humains laissés ainsi « naïfs, cocus et frustrés » jusqu’à leur dernier jour. Pas de quoi m’étonner que les menteurs n’aient pas envie de débattre, puisqu’ils n’ont rien à objecter sur la seule base de leur moyenâgeux slogan « credo quia absurdum » - mais il ne vous est pas interdit d’essayer !

Précisément, tous ces menteurs n’ont en commun que le refus systématique du seul et unique « véritable » débat d’idées qui vaille : celui qui ne consiste pas à opposer, « à l’infini », des points de vue relatifs partisans à d’autres, tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter, TOUS sans exception, à LA Vérité éternelle absolue qui suffit à tous les invalider dans leur prétention à exprimer l’Absolu, la réalité ou vérité absolue, dont je suis tout disposé à débattre avec quiconque en contesterait son existence éternelle.

C’est particulièrement le cas de toutes les croyances religieuses superstitieuses, dont aucune ne peut prétendre exprimer LA Vérité absolue, en raison même de leur pluralité et de leur diversité. Ceci vaut aussi pour l’islam avec la remarque supplémentaire que Dieu lui-même aurait annoncé au monde, au fil des siècles et des millénaires, une vérité différente pour les juifs, les chrétiens et les musulmans en mélangeant relatif et absolu, ce qui est précisément la caractéristique principale du penser superstitieux sous quelque forme qu’il s’exprime.

C’est du moins ce que soutiennent deux anciens maoïstes reconvertis en théologiens musulmans, Adel Rifaat et Baghat Elnadi en l’occurrence, tenant le plus sérieusement du monde à l’appui de leur livre, Penser le Coran, des propos surréalistes sur Dieu dans la matinale de France Culture du 24 février 2009, dont je cite les extraits suivants pour montrer que ce Dieu soi-disant unique, revisitant sa copie au fil des siècles et des millénaires, serait venu apporter un message différent au monde, tout en exprimant LA Vérité absolue en chaque circonstance. Ainsi ont-ils pu déclarer sans vergogne avec l’admiration du présentateur de France Culture, Ali Baddou en l’occurrence :

« Le Coran n’est pas la vérité absolue » (puisque chaque mot ne l’est pas selon Adel Rifaat)

« Dieu lui-même a révélé plusieurs textes », puisque le Coran reconnaît qu’il y a la Torah, qu’il y a les Evangiles, et reconnaît que ces livres-là sont des livres divins, des livres sacrés, des livres que Dieu a révélés aux hommes ; et ce n’est pas seulement ces deux livres ou ces trois livres, il y a, selon le prophète Muhammad, il y a plusieurs dizaines de livres qui ont été révélés et qui ont disparu…alors, être divin ou être sacré ne signifie pas nécessairement être éternel… c’est ça que nous essayons de dire.  (Baghat Elnadi)

 « Il y a dans le Coran comme livre fondamental, comme lieu fondamental de la psyché musulmane, ce problème de savoir si la parole de Dieu peut être discutée, et tout ce que nous disons par notre lecture du Coran, c’est qu’elle est à la fois transcendante et inscrite dans l’Histoire, donc qu’elle peut avoir des pans qui sont relatifs. » (Adel Rifaat): 

« Si nous pouvons, à notre très modeste niveau, participer à quoi que ce soit d’utile pour faire face aux problèmes évoqués, nous le faisons en nous plaçant au point névralgique où se conjuguent tous les malaises de ceux qui se réfèrent au Coran sans vraiment savoir ce qu’il dit, et à qui on a interdit de penser que « la parole de Dieu peut être relative aussi bien qu’absolue. » (Adel Rifaat) 

« Juste une chose très importante : « Dieu a dit des choses relatives », c’est inscrit dans le Coran, Dieu a reconnu qu’il pouvait changer des versets. » (Adel Rifaat)

« Donc, il y a des versets contradictoires dans le Coran ? (Ali Baddou) Exactement… il y a des versets qui annulent d’autres versets (Baghat Elnadi)

«  Et donc c’est, c’est capital…et donc Dieu peut dire des vérités relatives… c’est pas parce qu’il se trompe… quand il dit deux choses contradictoires, c’est tout simplement parce que la vérité a changé entre-tempsil a toujours raison, mais, en ce qui concerne ces questions, dans le relatif… mais c’est très important… (Adel Rifaat) [Fin de citation]

Le profil de ce Dieu superstitieux combinant le relatif et l’absolu devrait suffire à nos plus ou moins lointains descendants pour juger notre époque aussi obscurantiste que toutes celles qui l’ont précédée - sinon plus, avec notre croyance scientiste d’humains du XXIe siècle se faisant fort de maîtriser le climat de la planète à leur convenance pour l’éternité !

Et sur cette croyance superstitieuse, les porte-parole de la superstition musulmane se croient autorisés à intervenir aujourd’hui dans la sphère publique pour donner des leçons de morale à la planète entière, tandis que la place de l’islam en France avant 1981 était  celle de la sphère strictement privée, comme il convient dans une République laïque. Et à l’époque, d’ailleurs, même le nombre réduit de mosquées, deux cents environ, ne faisait ni la une des gazettes ni les condamnations moralisatrices des « vertueux » bienpensants, d’autant moins que le mot « discrimination » était alors quasiment inusité.

A l’inverse, aujourd’hui, les « vertueux bienpensants », fussent-ils athées - voire antireligieux -, n’ont de cesse de voler au secours de la superstition musulmane, quitte à refuser obstinément de débattre sur le dogme en refaisant publiquement le procès de Spinoza sur sa pensée véritablement philosophique démontrant more geometrico que l’Absolu est UN, Unique – ainsi la coexistence de deux absolus [le Dieu religieux, ou pseudo-spiritualiste de Descartes et de Kant, voire un principe créateur, ET notre monde] est-elle une impossibilité absolue par définition, philosophiquement parlant !

Or le problème est que toutes ces soi-disant élites d’aujourd’hui, tous milieux confondus [Médias, politiciens, intelligentsia (soi-disant intellectuels et pseudo-philosophes, voire associations moralisatrices à sens unique] refusent obstinément d’affronter le véritable débat d’idées, de sorte que leurs « juteuses » condamnations moralisatrices ne se fondent que sur des mensonges et des « croyances au miracle », tant religieux qu’idéologiques - sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire sur les divers modes d’expression du penser superstitieux !

Pour preuve du refus d’affronter LA Vérité absolue en matière de religion, je peux citer l’hebdomadaire Marianne et le quotidien Le Monde préférant ignorer la proposition évoquée ci-dessus, car c’est plus juteux aujourd’hui de titrer sur la « stigmatisation de l’islam », ou islamophobie, que de démêler le vrai du faux sur le plan religieux. De nos jours, comme le dit Philippe Bilger, magistrat hyper-médiatisé : « L’exigence de vérité a cédé devant la décence », et donc, face à tous les « faux-culs » du jour, LA Vérité éternelle absolue - celle qui suffit à démonter tous les dogmes, religieux comme idéologiques - attendra des jours meilleurs, tandis que le nombre de mosquées avoisine les deux mille - et ce n’est qu’un début ! 

Profitant du silence et de la lâcheté des faiseurs d’opinion d’aujourd’hui, l’islam a envahi la sphère publique pour lancer ses anathèmes, en oubliant ses propres turpitudes contraires au catéchisme universel contemporain (sharia, fatwa, djihad, attentats et conflits interreligieux entre chiites et sunnites, massacres de chrétiens, pendaison d’homosexuels, etc.). Et c’est ainsi que la croyance religieuse superstitieuse peut même utiliser la superstition moraliste, la morale accusatrice, pour le plus grand profit de son expansionnisme, tel qu’attesté par la  multiplication du nombre de mosquées en France et ailleurs, a fortiori par la création d’un État musulman au cœur de l’Europe jadis chrétienne - jusqu’en 732, assurément !

Et ceci va de pair avec la restriction de la liberté d’expression en matière de religion notamment ; une liberté que je revendique contrairement à vous, pour le peu que j’en connais, et aux thuriféraires de l’islam, pour critiquer sur le fond la religion en général, et l’islam en particulier, sans confondre la critique des idées fausses avec la critique morale des attaques personnelles. En effet, comme le dit Brunner : « Ménager la Superstition (notamment religieuse) aujourd’hui, c’est s’exposer demain à des dangers encore plus grands », ainsi que suffit à l’établir ici la comparaison entre avant et après 1981 – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d’apporter la preuve du contraire en matière de profanation de lieux de culte, ou de rues régulièrement interdites à la circulation pour cause de prières, par exemple !

Pour en terminer avec la Superstition, le penser superstitieux, outre celui de la religion et de l’idéologie, vous utilisez à votre profit la superstition moraliste, qui, compte tenu de la « relativité » de toutes les opinions universelles, ne justifie nullement de juger et condamner moralement les Autres, fut-ce sous les accusations partisanes d’islamophobie, ou stigmatisation de l’islam, et de discrimination.  Á ce petit jeu-là, en effet, hormis le fait que les accusations moralisatrices n’ont d’autre but que soutenir des intérêts égoïstes partisans, individuels et collectifs – c’est tellement « juteux », électoralement et financièrement parlant, de faire culpabiliser les Autres que nombre d’égoïstes médiatisés ne savent pas y résister ! -, la superstition moraliste n’a aucune justification, parce qu’il n’y a pas, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais, d’individus ni de groupes d’individus, « TOUS » critères d’appartenance confondus, réellement irréprochables, à commencer par moi : face à l’Idéal, en effet, chacun est forcément coupable, coupable de crime de lèse-Idéal ! Alors, Messieurs les censeurs autoproclamés, merci de réserver votre morale à votre propre usage, au lieu de condamner les Autres en vertu de votre devise favorite : « Je suis vertueux, donc je condamne. » - à moins que ne soit l’inverse ! ! !

Ainsi, comme vous le trouverez établi dans la suite du courrier, vous vous appropriez l’Idéal,  vous vous autorisez à parler en son nom, pour décider du Bien et du Mal prétendument absolus et décréter ce qu’il est bien ou mal de penser et de dire aujourd’hui - fut-ce à l’aide de votre justice aux ordres ! Elle aussi, en effet,  juge et condamne moralement tout  en refusant de débattre sur le fond, ainsi que l’atteste ma correspondance adressée entre juillet et novembre 2002 au Syndicat de la magistrature, ces juges devenus vertueux du seul fait d’être de gauche, et qui condamnent au nom de leurs chimères spécifiques de liberté et d’égalité en « absolutisant fictivement le relatif », ce critère indéniable du penser superstitieux, comme vous pourrez en juger par la suite - mais il ne vous sera pas interdit, évidemment, de démontrer le contraire ! Ainsi, sur le plan pratique, la « débilité intellectuelle » de l’époque, fondée précisément sur le penser superstitieux, conduit même des juges réputés « vertueux » à prendre la défense d’individus qui violent nos lois et nos frontières, tandis que d’autres juges, d’idéologie différente, peuvent être amenés à prendre des dispositions contraires – vous avez dit « justice » ? !

En conclusion, loin d’avoir contribué à faire l’unité de la France et des Français depuis 1981, vous avez rétabli la chienlit en renonçant au sacro-saint principe d’intégration à la française qui prévalait alors pour le plus grand profit de tous, tandis que, en matière de sécurité, vous jouez aujourd’hui contre la France en jetant de l’huile sur le feu à la moindre occasion - fut-ce un accident incombant avec certitude au conducteur ! -, à l’exemple de François Hollande au plus fort des émeutes de novembre 2005. Et ce seulement sur la base de votre penser superstitieux en matière de religion, d’idéologie et de moralisme, dont vous n’avez même pas l’honnêteté et le courage intellectuels de débattre. En clair, la gauche, toutes tendances et tous représentants confondus, ment et manipule l’opinion sur la seule base de ses « croyances au miracle » idéologiques et moralistes - en volant même, si besoin est, au secours de la superstition religieuse !  

Il vous reste néanmoins la possibilité de répondre sur le fond à tout point précis de désaccord, à défaut de quoi vous manifesteriez votre intention délibérée de continuer à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde - si juteux dans vos condamnations moralisatrices partisanes !

Dans l’éventualité de votre réponse intellectuellement et philosophiquement étayée, je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

  

Annexe : Lettre du 15 juillet 2010 au Parti socialiste

[Les défauts de présentation indépendants de ma volonté seront corrigés, dès le retour d'over-blog à un fonctionnement correct]