Quatre mille huit cents myriades d’Eveillés (Jack Kerouac)

Par Arbrealettres


Quatre mille huit cents myriades d’Eveillés
à travers d’innombrables tourbillons d’époques
ont paru travailler dur pour sauver un grain de sable,
et ce n’était rien d’autre que l’éternité d’or.
Et leur récompense totale ne sera ni supérieure ni inférieure
à ce que rapporte un bout de crotte séchée.

La récompense excède la pensée.

(Jack Kerouac)