Vacances françaises : Jeudi 1er et Vendredi 2 juillet

Publié le 12 août 2010 par Smirnoffette

Jeudi, nous avons pris le TGV direction Paris avec au programme un rendez-vous à l’ambassade américaine pour nos visas et le mariage de mon papa.

Vendredi, réveil très (trop) tôt pour prendre le RER et être à l’heure à notre rendez-vous à l’ambassade à 8h. Arrivés avec une demi-heure d’avance, nous avons pu entrer tout de suite et profiter qu’il y avait peu de monde. Du coup, 1h après nous étions sorti avec l’assurance d’avoir nos passeports avec visas chez nous dans les 3-4 jours.

Comme nous n’avions rendez-vous avec Marie-Claude, une des tantes de Flo, que vers midi, on en a profité pour visiter un peu la capitale : le Grand Palais, l’Eglise de la Madeleine, l’Opéra et le Passage Jouffroy.

   

Puis nous avons rejoints Marie-Claude à son travail, à l’Institut National d’Histoire de l’Art.

    Comme il était encore tôt pour déjeuner, nous nous sommes baladés dans la galerie Vivienne, construite en 1823.

   

Puis nous avons continué notre visite par le Passage des Panoramas. Il s’agit du plus ancien passage parisien (ouvert en 1800).

                

Nous avons aussi admiré l’Eglise St Eustache sous un magnifique ciel bleu. Sa construction commença en 1532 à l’emplacement de la chapelle Ste Agnès (13ème siècle) et se termina en 1633. Louis XIV, Richelieu, Molière et Madame de Pompadour y furent baptisés.

Cette promenade nous ayant ouvert l’appétit, nous sommes allés chez Chartier déguster une délicieuse andouillette. Nous sommes restés au moins 3h à refaire le monde dans cette très ancienne brasserie. Les serveurs étaient très sympathiques; ils nous ont même offert une bouteille de rosé que des clients n'avaient pas terminé.

   

“Chez Chartier” est un restaurant de Paris fondé en 1896, situé 7 rue du Faubourg-Montmartre dans le 9e arrondissement. La conservation de l'architecture du bâtiment et de la décoration Belle Époque de la salle a permis son classement aux monuments historiques en 1989.

Le restaurant est ouvert 365 jours par an avec une carte proposant de la cuisine française traditionnelle et à prix bon marché. Le service est assuré par des garçons de salle habillés en rondin (un gilet noir près du corps à poches nombreuses), et long tablier blanc. La note est rédigée directement sur la nappe en papier. Les casiers numérotés et alignés le long des murs permettaient aux habitués de ranger leur serviette de table.

         

En 1939, le restaurant est évoqué ainsi par Fernandel dans la chanson Félicie aussi : «  Afin d'séduire la petite chatte. Je l'emmenai dîner chez Chartier
Comme elle est fine et délicate. Elle prit un pied d'cochon grillé ».

Source Wikipedia

Avant de reprendre le TER pour retourner chez mon père, nous sommes passés le long des galeries du Palais Royal et de s’interroger devant “Les Deux Plateaux”.

En 1985, Jack Lang choisit l’artiste Daniel Buren pour installer dans la cour d’honneur du palais une de ses œuvres. L’artiste crée des colonnes de marbre noir et blanc et éclairées la nuit d’une lumière verte fluorescente. Celles-ci déclenchent une vive polémique sur le rapport de leur installation dans ce lieu et sur l’art contemporain. Source Wikipedia

Perso, bof bof.

      

Et pour finir ce post, une petite chanson (y’a pas de raison qu’il n’y ait que moi qui l’ait dans la tête !)