Références musicales : Samuraj Cities, The Beatles
Niels Nielsen - To the sun (mp3)
Niels Nielsen - Dpend (mp3)
AbsNoise knows three kind of Swedish artists : the ones I like, the ones I do not like, the ones I have been following since the very beginning of their career. Niels Nielsen belongs to this third category. Following him is not that easy since the guys is as prolific as Paddington DC or The Bear Quartet (expect a review of their next album soon). But I tried to chase Niels here, here, or there.
When I was sleeping under a palm tree during those latest summer holidays, he published two songs on the Internet. I had actually already listened to them before that, but they prove how interesting and different he is as an artist: while To the sun sounds very Beatlesish, Dpend is more built upon a DIY electro vibe. Actually, both do not sound as if they were made by the same artist.
Eventually, you come to the conclusion that the only category you can put Niels Nielsen in is the "Swedish artists with a name beginning by a N" one. I wish good luck to the ad department to find one single tag line to sell his music. Not easy. But I wish things would be easier: how many great songs should he writes before to get a little bit more recognition in Sweden?
Pour mes compatriotes français
AbsNoise connait trois catégories d'artistes suédois : ceux que j'aime, ceux que je n'aime pas, ceux que je suis depuis le tout début de leur carrière. Niels Nielsen appartient à cette troisième catégorie. Suivre son cheminement n'est pas chose aisée car l'énergumène est du genre prolifique, façon Paddington DC ou The Bear Quartet (la critique de leur prochain album est prévue pour bientôt ici-même). Mais bon, j'ai essayé de chasser le Niels ici, ici, ou encore là.
Alors que je dormais sous un palmier pendant les dernières vacances d'été, il a publié sur le web deux morceaux. En réalité, j'avais eu l'occasion de déjà les entendre précédemment, mais ces deux titres montrent le talent du bonhomme et son côté "à part" : si To the sun évoque les Beatles, Dpend est davantage construit sur un beat électro artisanal. On dirait presque que les deux morceaux ne sont pas du même artiste.
Finalement, une conclusion s'impose : la seule catégorie dans laquelle on peut classer Niels Nielsen est celle des "artistes suédois dont le nom débute par N". Bonne chance aux publicitaires chargés de marketer le tout. C'est pas gagné. J'aimerais que les choses soient plus faciles pour lui : combien de morceaux énormes doit-il pondre pour que la Suède reconnaisse enfin son talent ?