C'est fou ce que la Tribune de Genève a le sens du titre mesuré : comparer à un calvaire le fait de devoir quitter un tram pour aller en bus alors qu'on se bat comme des chiffoniers pour savoir où le tram ne doit pas passer à Meyrin fait gentiment sourire. Aux Meyrinois de cesser de tergiverser s'ils veulent un tram, et sinon la gymnastique n'a jamais fait de mal à personne, en particulier pas à l'esprit.