Petite fenêtre sur l’excitation nécessaire à la vie de tous les jours.

Publié le 25 septembre 2010 par Ingridkpl


Excellent piment pour l’amour les fantasmes n’ont rien à voir avec les perversions, les goûts obsessionnels et autres mots sulfureux. Ces caresses de l’esprit "créatives" (banales et normales) permettent à l’imaginaire de prendre quelque distance avec la réalité pour contourner les inhibitions et rendre le plaisir plus ludique, plus audacieux. Alors, pourquoi vous en priveriez vous?
Anonyme ( ?... elle se reconnaîtra) me confie dans un mail, que le scénario qu’elle adore est toujours le même: " Je suis une hôtesse de l’air m’écrit-elle, entourée d’homme d’affaires qui me désirent tous. Faire l’amour sans ce genre de mise en scène n’a pour moi aucun intérêt". Indiscutablement, ma lectrice se sert de son fantasme pour réveiller son imaginaire érotique.
Soft ou un peu plus hard, quelle que soit la nature du fantasme dans l’imaginaire tout est permis. Imaginer faire l’amour dans un lieu public, une réception "collet monté", un ascenseur ou un parking est un pied de nez symbolique aux comportements autorisés. Plus l’interdit est pesant, plus l’imagination exulte.
Faut-il absolument réaliser ses fantasmes?
Si vous en avez envie et si ils sont réalisables? Pourquoi pas. L’erreur est de chercher à réaliser coûte que coûte un fantasme en pensant à tort, qu’il vous apportera un quelconque épanouissement sexuel. Très souvent, cela peut procurer l’effet inverse et créer un blocage.
Le fantasme préféré des hommes?
Si vous voulez connaître ceux de monsieur, jetez un œil sur les magazines pornographiques : les fantasmes masculins tournent tous autour du sexe. Le scénario le plus fréquemment choisi: "IL" se voit faire l’amour avec deux femmes prêtent à satisfaire le moindre de ses désirs…
Quant à savoir si vous devez avouer vos fantasmes à un homme fraîchement rencontré sur un site de rencontre internationale (style rencontre haut de gamme). Sans hésitation, Non… chacun n’a-t-il pas droit à son jardin secret?
A méditer, donc…
Ingrid KLEIN