Il fallait s’y attendre après le succès du Dr. Dre et son casque Beats studio, voici que Uncle Q nous livre lui aussi son appendice audio.
Si la projection des graves ne vous dit rien, vous en aurez un aperçu en portant ces merveilles à vos oreilles, car Uncle Q se garde d’avoir voulu faire ajouter un peu de beurre dans ses épinards, “il n’a pas le temps pour cela” pour reprendre ses propres termes. Il apporte une vraie valeur ajoutée au produit et à fait un mariage de coeur là où d’autres auraient choisis la fortune. Il tient à rappeler qu’il est associé au groupe Harman depuis quelques années déjà et qu’une partie des fonds est reversée à sa fondation qui s’occupe d’aider des jeunes artistes de part le monde.
J’ai donc à ma gauche plus de 60 années dédiées à la musique avec un grand M. En tout genre et sans concession de Nana Mouskouri à Michael Jackson en passant par Ludacris, ce Monsieur est à l’origine de la musique moderne telle que l’on la connaît aujourd’hui.
Et à ma droite autant d’années passées à véhiculer les ondes, le son, la musique. Des décennies passées à créer des outils à la disposition des professionnels pour restituer leur oeuvre telle qu’elle a été imaginé n’est pas chose aisée et pourtant Harman Kardon n’a jamais dévié de sa route. Pas une seule fois.
Il n’est donc pas étonnant de retrouver ces 2 compères sur un projet commun, une gamme de casque pour enfin offrir au grand public la musique telle qu’ils ne l’a jamais entendu. La musique telle qu’elle a été pensée.
Connu, entre autre, pour son gout immodéré pour la technologie, le premier des superproducteurs, Quincy Jones, s’est amusé à designé des écouteurs et des casques tout en donnant des directives quant aux caractéristiques techniques des engins. Un travail de directeur artistique qu’il maîtrise depuis ses premiers pas dans l’industrie de la musique en somme.
Un beau produit, une bonne cause et d’éminents garants, celui qui résume le mieux la situation est Patrick Sangan, Directeur commercial d’Harman France: “c’est comme un Burger King, c’est simple mais c’est bougrement bon!”