Un bilan de fin d’année

Publié le 02 janvier 2008 par Aurélia Denoual

La coutume veut de recenser en fin d’année les évènements qui l’ont marqué et parmi ceux-ci des catastrophes naturelles de toutes sortes, qui ont pris une place significative parmi les plus meurtrières, dont 3 peuvent être imputées directement ou indirectement au réchauffement climatique.


Il faut citer en premier lieu le cyclone nommé Sidre dans le golf du Bengale, le plus meurtrier de l’année,  qui a dévasté le 15 novembre les côtes méridionales du Bengladesh, avec des vents de 240 Km/h, soulevant des vagues de 6 mètres de haut, faisant 4,7 millions de sinistrés et faisant environ 4 000 victimes, mortes et disparues.


Le séisme le plus meurtrier de l’année, d’une intensité de 7,7 sur l’échelle de Richter s’est produit le 15 août au Pérou, dont le bilan officiel est de 320 000 sinistrés, 900 morts et disparus, 76 000 maisons détruites.


Il faut aussi citer, dans le cadre de ce bilan, l’incendie imputable à la sécheresse et à la canicule qui a dévasté l’été la Grèce.