Sébastien Loeb, Véni, Vidi, Vici...!!!

Publié le 06 octobre 2010 par Adrenalineaddict

Seul au monde, seul avant lui Jules César avait tant dominé les contrées les plus lointaines, repoussé plus loin son emprise géographique, pis peut-être, Seb Loeb sera allé jusqu'aux antipodes (Australie-Nouvelle Zélande), jusque sur ces continents (Asie - Amérique du Sud) où le divin empereur n'eut pas loisir de régner, Seb l'a fait.

Mais in fine, personne, au grand jamais personne parmi les explorateurs, Empereurs, navigateurs, aventuriers, dictateurs illuminés n'aura autant dominé !

Aucun navigateur Portugais ou Espagnol, aucun explorateur Britannique, aucun Empereur Romain ou Roi de Castille, aucun Drakkar Viking, aucune Horde Barbare, aucune division blindée, aucune invincible armada ni même invasion aéroportée n'a jamais, au grand jamais conquis et dominé, soumis et impacté de contrées et territoires différents, d'un bout à l'autre de la planète !

Jamais personne n'a repoussé plus loin les limites de la conquête et de la domination, Sebastien Loeb a, depuis longtemps, dépassé le stade du Super Héros, Sébastien Loeb est entré dans le cercle fermé des demi Dieux, non content de régner sur des contrées non encore dominées par nul empire ou envahisseur auparavant, il a été jusqu'à défier les plus grands sur leurs terres et les écraser, ainsi les Barbares Teutons en Allemagne, les Légions Romaines en Italie, les Vikings en Norvège, les Flyin' Finnish en Finlande, les Maoris en Nouvelle Zélande, ou les Samouraïs au Japon, Sébastien Loeb, c'est finalement Jules César plus Amérigo Vespucci, Christophe Colomb et Vasco de Gama !!... 

Mais la Légende ancre ses racines beaucoup plus profondément, le saviez vous, Rome, l'éternelle, l'intemporelle, Rome sans qui César n'est rien, César sans qui Rome n'est rien, le centre historique de Rome est dominé par sept collines : Capitole, Palatin, Viminal, Quirinal, Esquilin, Caelius et Aventin, Rome, construite sur 7 collines qui sont ses fondements même, sa force, sa singularité ! fondée par Romulus et Rémus, fils de deux divinités : Mars, dieu de la guerre, et Vénus, déesse de la beauté et de l'amour. La généalogie légendaire de Romulus permet ainsi de donner une origine divine et mythique à Rome : cette ville aurait été créée, car les dieux le voulaient ainsi !!!.

Les fondements de la Légende du Kaiser Loeb sont faits du même marbre, 7 titres, sept titres gagnés par cet autre duo hors normes : Sebastien et Daniel, qui ont conquis, ravi, arraché au fil des ans des victoires toutes plus historiques et valeureuses les unes que les autres, jugez plutôt :

L'Empire Romain a connu son apogée sous Auguste, héritier de César, à l'époque il s'étend d'Occident (Hispanie-actuelle Espagne, Gaule, Bretagne-actuelles Angleterre/Ecosse/Pays de Galles, Afrique du Nord-actuelles Jordanie/Lybie/Tunisie/Maroc, Italie) à l'Orient (Grêce, Anatolie-actuelle Turquie, Syrie, Egypte), soit les limites du Monde Connu tel que dénommé à l'époque !

Sebastien Loeb a lui, régné sur l'Allemagne, Monaco, l'Italie, la Suède, Chypre, la Turquie, l'Australie, la Nouvelle Zélande, la Grèce, l'Argentine, la France, l'Espagne, le Mexique, le Japon, le Portugal, l'Irlande, la Finlande, l'Angleterre, la Norvège, la Jordanie et la Bulgarie, à ce jour... Et rien ne laisse penser que sa soif de conquêtes pourrait s'étancher tout de suite !

Alors oui, comme tout Empereur, Seb devra, un jour, céder son trône et comme à l'époque c'est non pas Rome mais bel et bien l'Empire Romain dans son ensemble, à travers les contrées qui frémit de savoir, qu'un jour prochain, les fondements de Rome trembleront.

Mais ce jour là, la Légende Loeb, auréolée comme son glorieux ainé de ses multiples couronnes de lauriers aura déjà gravé dans le marbre pour les futurs historiens le récit de ses conquêtes, de ses croisades, l'histoire d'un sport, l'histoire de notre sport...

Et finalement, comme après la Rome antique, le Monde ne sera plus jamais le même, probablement parce qu'un jour, en Alsace, les Dieux en avaient décidé autrement !!!

Alea Jacta Est ! 

locution latine signifiant « le sort en est jeté ». Selon Plutarque, ces paroles furent prononcées par Jules César, le 12 janvier -49 lors du passage du Rubicon.