la septième pièce de l'album, dors dans mon sang, en est un parfait exemple. piano, basse et voix nous amènent tranquillement au moment fort de l'œuvre, là où l'ARP 2600, bruitage électronique, se mêlent au harmonies vocales répétées des musiciens. une sorte de transe. si peu de paroles, tellement touchant. Karkwa nous ramène là où on veut être, quelque part où on se sent bien. l'espoir et la nostalgie fusionnent. et quand c'est bien fait, c'est toujours grandiose.
bref, un achat à coup sûr. on l'écoute en boucle et on s'y perd. la preuve qu'on peut encore faire quelque chose de fracassant en ces années où ''tout à déjà été fait''.
''j'écris sous la guillotineje m'ennuie du silence endorphinedans mon ouïe, les bruits blancs sont de plus en plus noirs''- L'acouphène
Publié par Lß sur le blogue "des mots inutiles"