Mes livres d’octobre 2010, mois laborieux

Par Mango
Ce mois-d'octobre  s'est montré plutôt laborieux,  un livre sur trois m'ayant  déçue. Sur les quinze que j'ai lus, j'en ai donc aimé dix dont quatre premiers romans.
1) Le confident, Hélène Grémillon  Deux mères pour une fille unique. Quelle est la vraie ? Qui est la  mère  biologique?
Ce livre fait partie de la dernière sélection du prix du Premier roman! J'espère que ce sera le gagnant. L'intrigue est diaboliquement bien menée et l'écriture est belle..

2) Paris, je t'aimede Myriam Thibault.  Un premier roman prometteur sur  Paris , ville aimée,  rêvée, imaginée.

3) Le dîner de Babette de Karen Blixen. Une grande artiste peut enfin se surpasser et accomplir  son chef d’œuvre.un grand dîner à la française chez des puritains danois.

4) Le cœur régulier de Olivier Adam. Une quête de soi au bout du monde

5) Quand je pense que Beethoven est mort alors que tant de crétins vivent de Eric-Emmanuel Schmitt. Qui a disparu ? Beethoven ou nous ? Et qui est l'assassin ?

6)  Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants de Mathias Enard, La création d'une œuvre d'art .

7) Biogéede Michel Serres. Je déclare forfait.

8) Firmin, autobiographie d’un grignoteur de livres,, Sam Savage. Seul au monde avec ses livres.

9) Helena Rubinstein , la femme qui inventa la beauté, par Michèle Fitoussi. Le portait d'une femme complexe.

10) Quand le requin dort de Milena Agus. Venez avec moi, dit l’enfant,  et n’ayez pas peur!

11) L’Enfant poisson, premier roman de Lucía Puenzo. Le parti pris d' un  chien narrateur sur sa maîtresse

12) Au hasard et souvent , par Sébastien Lapaque. Un pot-pourri en somme!

13) Rien ne m’arrête! d’ Ally O’ Brien. Chick-lit. Premier roman  moins mordant que ne le prétend l'éditeur.

14) Les Boucanières d’ Edith Wharton. Un grand bonheur!

15) Le livre des aveux de John Banville. Confession d’un tueur

Aujourd'hui, sera remis le prix Femina. Je ne peux m'empêcher d'attendre le résultat. De la dernière sélection, je n'ai lu que Eric Fottorino: Baisers de cinéma (Gallimard). Je ne pense pas que ce sera lui l'heureux élu!