Les collants, c’est bon, mangez-en !

Publié le 17 novembre 2010 par Lilicastille

Je sais bien que certains d’entre vous, et tout particulièrement la gent masculine, l’abhorrent et le détestent, l’accusent des plus insoutenables attentats au glamour et le fustigent comme le pire accessoire tue l’amour à double couture renforcée. Je sais tout ça.

On est d’accord, le collant ne détrônera jamais le porte-jarretelles qui reste la pièce maîtresse absolue en matière d’habillage de gambettes, mais si c’est franchement jubilatoire de le porter au bureau et de se faire le trip si-vous-saviez-ce-que-je-cache-là-dessous 4 ou 5 fois par an, les 360 jours restants, c’est quand même bien la misère la bretelle qui vrille ou qui tire, la fermeture qui s’ouvre et le bas qui plisse, à l’heure de pointe dans le métro.

Et, qu’on se le dise, les bas Stay Up sont à mon sens une totale aberration esthétique : ces autocollants tout gluants qui coupent la jambe à l’horizontale (sans la sublimer vers le haut par une jolie bretelle), boudinent la cuisse, sans parler des motifs de la bande en dentelle renforcée qui rappellent trait pour trait ceux des protections périodique spécial nuit !

Alors - stop ! - qu’on arrête de s’acharner sur mon ami le collant et qu’on veuille bien lui accorder ses lettres de noblesse de l’ultra-glam, du franchement sexy et du top trendy. Le (beau) collant est une pièce de lingerie fine à part entière. Les Japonais, ces infatiguables coquins renifleurs de culottes, ont depuis longtemps senti (avec mauvais jeu de mots) le potentiel hautement érotique du collant et vouent à l’objet de voile un véritable culte.

Voici donc, pour tenter de vous gagner à la cause collantesque, quelques jolies pièces et clichés qui devraient vous faire changer d’avis sur celui qui embrasse les parties les plus convoitées du corps de la femme…

 

Le tiroir à collants 

  

Wolford

 

Les Queues de Sardines

  

Collant Twitter (il ne file pas, il follow)