Stefanie Schneider utilise des pellicules et des polaroid...

Publié le 20 novembre 2010 par Metanoia



Stefanie Schneider utilise des pellicules et des polaroids périmés, pour un road-trip d'une Amérique presque fantasmée,  en nous déroulant une vision d'un espace hors du temps et surtout hors de la modernité, comme bloqué dans les années 50, ou tout simplement, dans un rêve un peu innocent. Le hasard vogue ainsi dans un esthétisme déluré, aux couleurs enfantines et à la lumière surexposée, qui fait toujours flotter une agréable nostalgie dans des cadres vaporeux.