Profil d’un fraudeur : dons pour combattre le cancer

Publié le 06 décembre 2010 par Helenebouchard

Les journaux canadiens ont parlé de quelques cas de fraude par sollicitation de dons  de charité pour combattre un cancer. Une des femmes s’est rasée le crane, a publié un vidéo, a un site web pour ramasser les dons. Tous les moyens sont bons. Noble cause, on admire le courage de la jeunesse, on s’identifie ,on donne et nous sommes généreux.

Une femme de la Colombie Britannique est accusée d’avoir  obtenu  jusqu’à 300 000 $ de dons pour combattre son cancer ( Les dons peuvent venir aussi de la famille immédiate). La facilité avec internet et Facebook de rejoindre les gens font que les victimes aussi sont plus facile à rejoindre. Dans des études , les gens sont plus enclins à donner lorsque leur don a un effet immédiat et, les canadiens sont généreux. Nous faisons confiance.

Although we tend to believe we are good at spotting liars, Dr. Porter’s research suggests that we see through them only about half the time. And when we’re not expecting deception, the success rate is even lower. Our brains typically assess the trustworthiness of individuals in one-10th of a second. Appearances matter. People with full lips, a small nose and a baby face are most readily trusted, and it helps to be good-looking. Most of the stereotypes about lying aren’t true. Good liars don’t act nervously, or avoid eye contact: They do just the opposite.

Source: The Globe & Mail

Voir aussi: CTV