Fructis m’inspire...

Publié le 13 décembre 2010 par (dé)maquillages @demaquillages

Allez. Je me lance.
Mon premier billet sponso.

Pour Fructis.

Juste après mon premier concours.

En plus c’est un billet sponso – double concours !

(je ne fais pas les choses à moitié quand je me lance ;))
Et puis surtout, le sujet m’inspire…

(je vais pas vous faire un copié-collé des infos envoyées par la marque, c’est pas mon genre)

Vous voulez savoir pourquoi Fructis m’inspire ?
1. D’abord parce que Fructis est un cas d’école en matière de rupture marketing


Le lancement de Fructis, je m’en souviens encore. C’était dans les années 90, je crois bien. Une véritable révolution dans le shampooing. Des packs vert acide, un design jamais-vu ultra-identifiable, des acides de fruits dans la formule, une comm’ délire et djeun’s (on disait comme ça dans les 90’s, non ?)
A l’époque, c’était vachement osé !!! Risqué, même.
Et puis résultat : un succès immédiat. Jamais démenti depuis (ou à peine). Un véritable cas d’école marketing, comme je disais.

2. Ensuite à cause de cette campagne anti-Fructis menée par certains coiffeurs
Je vais vous raconter une anecdote qui vous est aussi probablement arrivée (dites-le moi en commentaire, ça m’intéresse).
Quand j’étais ado, comme tout le monde, j’utilisais Fructis. Je vais chez le coiffeur, il me dit « Ouououh ! Mais la jeune fille a des cheveux vraiment abimés, dites-moi !! Vous n’utiliseriez pas Fructis par hasard ? ». Évidemment je dis oui, et évidemment j’arrête tout net d’acheter du Fructis car « Tssss….. Les acides de fruits ça agresse le cheveu, Mademoiselle. » (ce qui est faux, mais à l’époque, je ne pouvais pas le savoir). Dans la foulée, le coiffeur me propose un shampooing absolument extraordinaire / non desséchant pour la modique somme de 78 F (oui, « francs »), mais bien sûr je ne l’achète pas, faut pas pousser, j’ai pas le budget (le babysitting ça rend pas riche, ça se saurait…).
Ce que j’ai compris plus tard, c’est qu’en me posant la question, le coiffeur avait 1 chance sur 2 que je réponde oui, puisque c’est une marque que l’on retrouvait dans presque tous les foyers.
Depuis ce jour-là, on m’a encore fait à deux reprises le coup du « cheveux abîmés = Fructis » (sauf que je répondais non, du coup, puisque j’avais abandonné la marque - et même prêché en sa défaveur auprès de mon entourage, j’avoue :/), et c’est encore arrivé il y a moins d’un mois à une femme qui se faisait coiffer à mes côtés (qui a dit « Oui » et la coiffeuse a dit « Mais vous n’y pensez pas ! » etc…).
En fait, je soupçonne certains coiffeurs d’utiliser ce subterfuge comme technique de vente pour mieux écouler leurs shampooings « professionnels » (sur lesquels ils se font une belle marge).
3. Enfin pour des raisons marketo-écologiques

Souvenez-vous : il y a quelques semaines, je vous parlais de ces marques pas tout-à-fait-naturelles, qui communiquaient à mort sur le végétal il y a quelques années (d’une manière qui me semblait pas mal exagérée), mais qui faisaient de réels efforts aujourd’hui pour que leurs produits soient un peu plus en phase avec leur communication très verte(si vous n’avez pas lu cet excellentissime billet, c’est par ici). Je vous avais cité Garnier, mais je ne m’étais pas attardée sur son cas.

Fructis, je ne vous apprends rien, c’est une gamme de Garnier. Et Garnier, c’est la marque green de la division L’Oréal Grand Public. « Green », je l’ai appris lorsque j’ai fait ma petite mission dans ce grand groupe il y a près de 2 ans, et j’avoue que ça m’avait d’abord étonnée, car je ne percevais pas la marque comme cela.
Du coup, je m’y suis intéressée d’un peu plus près. J’ai regardé dans les bilans « développement durable » du groupe, j’y ai appris que Garnier était bien plus écolo que je ne pensais. Par exemple, qu’ils avaient diminué de manière significative le poids des emballages - donc de plastique, ou que de gros efforts étaient fait en termes d’économie d’énergie et de gestion des déchets. Garnier s’engage d’ailleurs pour 2015 à réduire de moitié ses émissions de gaz à effet de serre, sa consommation en eau et sa production de déchets par rapport à 2005.

Et la gamme Fructis, alors, aujourd’hui, ça donne quoi ?

(Oui, parce que c’est l’objet principal de ce billet, quand même, arrêtons les diversions…)

Les shampooings et soins capillaires Fructis viennent juste d’être retravaillés. Le résultat :

  • De nouvelles formules, encore plus efficaces, encore plus sensorielles.
  • Plus d’ingrédients naturels : des micro-huiles de riz qui facilitent le brushing, de la sève de bambou pro-boucles et anti-frisottis, de l’essence de pamplemousse qui fait briller, des huiles d’olive, avocat et karité.
  • Un lifting des packagings (mais on reconnait toujours la patte Fructis)
  • Un service diagnostic cheveux gratuit online(ici)
  • Et bien sûr, une nouvelle campagne de publicité, à laquelle vous n’allez pas échapper ! (d'ailleurs ça commence ici-même ;))


Et pour fêter l’évènement, ce n’est pas 1, mais 2 concours que je vous propose.
Oui, parce que vous le valez bien, et surtout parce que je trouvais que je ne vous proposais pas assez de concours ces derniers jours ;).

1er CONCOURS
(et pas des moindres)

A gagner : une coupe / brushing par Olivier Lebrun, coiffeur créateur Garnier Fructis, dans son atelier à Paris.
Pour participer : c’est tout simple, il suffit de répondre à 3 questions ultra-faciles ici.

2ème CONCOURS
(et là vous avez toutes vos chances)

A gagner : un lot de 5 produits Fructis adaptés à votre type de cheveux.
Pour participer : vous avez jusqu’à mercredi 15 décembre 23h59 pour répondre en commentaire de ce billet à la question suivante :
En quel matériau plastique est le flacon des shampooings Fructis ?

J'annoncerai le gagnant à la fin de ce même billet, jeudi matin.
(Vous séchez ? Allez, je vous aide : un petit tour par et vous trouverez la réponse).