Chacun sa méthode...

Publié le 14 décembre 2010 par Marigotine

    Ma gamelle d'eau

   Je l'ai demandée "frozen" pas gelée.....

                                                       Non d'un chien!

  

     De toutes façons t'es jamais content Médor!

   Moi  je me débrouille tout seul !

   J'ai le ventre, le dos et le derrière à température idéale.....

        Dark Vador au pays des Pandas....

     JE SUIS TON PERE !

BISOUNURSERIE. Ce bébé panda, âgé de4mois, vient de subir un examen médical effectué par des soigneurs chinois qui n’ont pas quitté une seconde leur déguisement de peluche géante. Selon eux, tout va bien : né en semi-captivité, ce petit mâle d’une espèce en grand danger d’extinction devrait pouvoir être réintroduit, d’ici à cinq ou six ans, dans son environnement naturel. D’où la nécessité de ne pas l’habituer à la présence des hommes, en misant sur la vue notoirement médiocre de cet ursidé pour le tromper. Seul problème : les pandas sont également réputés pour avoir un odorat très fin. Et il se pourrait bien que celui-ci, à l’âge adulte, ne recherche que des femelles à l’odeur 100% acrylique ! " />BISOUNURSERIE. Ce bébé panda, âgé de4mois, vient de subir un examen médical effectué par des soigneurs chinois qui n’ont pas quitté une seconde leur déguisement de peluche géante. Selon eux, tout va bien : né en semi-captivité, ce petit mâle d’une espèce en grand danger d’extinction devrait pouvoir être réintroduit, d’ici à cinq ou six ans, dans son environnement naturel. D’où la nécessité de ne pas l’habituer à la présence des hommes, en misant sur la vue notoirement médiocre de cet ursidé pour le tromper. Seul problème : les pandas sont également réputés pour avoir un odorat très fin. Et il se pourrait bien que celui-ci, à l’âge adulte, ne recherche que des femelles à l’odeur 100% acrylique ! " />BISOUNURSERIE. Ce bébé panda, âgé de4mois, vient de subir un examen médical effectué par des soigneurs chinois qui n’ont pas quitté une seconde leur déguisement de peluche géante. Selon eux, tout va bien : né en semi-captivité, ce petit mâle d’une espèce en grand danger d’extinction devrait pouvoir être réintroduit, d’ici à cinq ou six ans, dans son environnement naturel. D’où la nécessité de ne pas l’habituer à la présence des hommes, en misant sur la vue notoirement médiocre de cet ursidé pour le tromper. Seul problème : les pandas sont également réputés pour avoir un odorat très fin. Et il se pourrait bien que celui-ci, à l’âge adulte, ne recherche que des femelles à l’odeur 100% acrylique ! " title="Chacun sa méthode..." />BISOUNURSERIE. Ce bébé panda, âgé de4mois, vient de subir un examen médical effectué par des soigneurs chinois qui n’ont pas quitté une seconde leur déguisement de peluche géante. Selon eux, tout va bien : né en semi-captivité, ce petit mâle d’une espèce en grand danger d’extinction devrait pouvoir être réintroduit, d’ici à cinq ou six ans, dans son environnement naturel. D’où la nécessité de ne pas l’habituer à la présence des hommes, en misant sur la vue notoirement médiocre de cet ursidé pour le tromper. Seul problème : les pandas sont également réputés pour avoir un odorat très fin. Et il se pourrait bien que celui-ci, à l’âge adulte, ne recherche que des femelles à l’odeur 100% acrylique ! " border="0" /> BISOUNURSERIE. Ce bébé panda, âgé de4mois, vient de subir un examen médical effectué par des soigneurs chinois qui n’ont pas quitté une seconde leur déguisement de peluche géante. Selon eux, tout va bien : né en semi-captivité, ce petit mâle d’une espèce en grand danger d’extinction devrait pouvoir être réintroduit, d’ici à cinq ou six ans, dans son environnement naturel. D’où la nécessité de ne pas l’habituer à la présence des hommes, en misant sur la vue notoirement médiocre de cet ursidé pour le tromper. Seul problème : les pandas sont également réputés pour avoir un odorat très fin. Et il se pourrait bien que celui-ci, à l’âge adulte, ne recherche que des femelles à l’odeur 100% acrylique ! (REUTERS)     " Terriens " de tous horizons je vous ai à l'oeil    Ne faites pas n'importe quoi    Ou ma colère sera terrible...... L’APOCALYPSE, SELON SEAN. Ce magnifique cliché panoramique d’un ciel d’orage au-dessus des plaines du Montana (Etats-Unis) est l’oeuvre d’un photographe amateur local, Sean Heavey. Electricien de son métier, ce jeune homme de 34 ans possède une impressionnante collection de ce type d’images dont la dimension fréquemment biblique le fascine. Il aime d’ailleurs à la souligner en baptisant ses photographies de titres comme L’OEil de Dieu ou (pour celle-ci) L’Arche de la mère. Mais à la contempler, on pense aussi irrésistiblement, et de façon plus païenne, au spleen de Charles Baudelaire évoquant un «ciel bas et lourd comme un couvercle (qui) verse un jour noir plus triste que les nuits». " />L’APOCALYPSE, SELON SEAN. Ce magnifique cliché panoramique d’un ciel d’orage au-dessus des plaines du Montana (Etats-Unis) est l’oeuvre d’un photographe amateur local, Sean Heavey. Electricien de son métier, ce jeune homme de 34 ans possède une impressionnante collection de ce type d’images dont la dimension fréquemment biblique le fascine. Il aime d’ailleurs à la souligner en baptisant ses photographies de titres comme L’OEil de Dieu ou (pour celle-ci) L’Arche de la mère. Mais à la contempler, on pense aussi irrésistiblement, et de façon plus païenne, au spleen de Charles Baudelaire évoquant un «ciel bas et lourd comme un couvercle (qui) verse un jour noir plus triste que les nuits». " />L’APOCALYPSE, SELON SEAN. Ce magnifique cliché panoramique d’un ciel d’orage au-dessus des plaines du Montana (Etats-Unis) est l’oeuvre d’un photographe amateur local, Sean Heavey. Electricien de son métier, ce jeune homme de 34 ans possède une impressionnante collection de ce type d’images dont la dimension fréquemment biblique le fascine. Il aime d’ailleurs à la souligner en baptisant ses photographies de titres comme L’OEil de Dieu ou (pour celle-ci) L’Arche de la mère. Mais à la contempler, on pense aussi irrésistiblement, et de façon plus païenne, au spleen de Charles Baudelaire évoquant un «ciel bas et lourd comme un couvercle (qui) verse un jour noir plus triste que les nuits». " title="Chacun sa méthode..." />L’APOCALYPSE, SELON SEAN. Ce magnifique cliché panoramique d’un ciel d’orage au-dessus des plaines du Montana (Etats-Unis) est l’oeuvre d’un photographe amateur local, Sean Heavey. Electricien de son métier, ce jeune homme de 34 ans possède une impressionnante collection de ce type d’images dont la dimension fréquemment biblique le fascine. Il aime d’ailleurs à la souligner en baptisant ses photographies de titres comme L’OEil de Dieu ou (pour celle-ci) L’Arche de la mère. Mais à la contempler, on pense aussi irrésistiblement, et de façon plus païenne, au spleen de Charles Baudelaire évoquant un «ciel bas et lourd comme un couvercle (qui) verse un jour noir plus triste que les nuits». " border="0" /> L’APOCALYPSE, SELON SEAN. Ce magnifique cliché panoramique d’un ciel d’orage au-dessus des plaines du Montana (Etats-Unis) est l’oeuvre d’un photographe amateur local, Sean Heavey. Electricien de son métier, ce jeune homme de 34 ans possède une impressionnante collection de ce type d’images dont la dimension fréquemment biblique le fascine. Il aime d’ailleurs à la souligner en baptisant ses photographies de titres comme L’OEil de Dieu ou (pour celle-ci) L’Arche de la mère. Mais à la contempler, on pense aussi irrésistiblement, et de façon plus païenne, au spleen de Charles Baudelaire évoquant un «ciel bas et lourd comme un couvercle (qui) verse un jour noir plus triste que les nuits». (Sean Heavey/Barcroft Media/ABACA)    WIKILEAKS à la crèche.....    Un vilain  "Ass  Ange" au pays des bons ! Chaque année, Gennaro Di Virgilio, ébéniste italien, construit à Naples une crèche et y place au moins une célébrité contemporaine qui a marqué l’année. Cette année il a sculpté le fondateur du site WikiLeaks, Julian Assange, son fidèle ordinateur portable à la main. (REUTERS)    J'ai pas le temps de te faire une inhalation!    Les passagers attendent!    Ton nez est très encombré    Je vais utiliser la manière forte....    Méfiez vous "sinus" et "cocinus" ça va décaper.....    MANCHE À BALAI. Il est rare que les pilotes se servent de leur manche à balai de cette façon... et l’on ignorait d’ailleurs que cet ustensile faisait partie, dans sa version ménagère, de l’équipement de leurs cockpits. Mais celui-ci, en bras de chemise malgré une température qui avoisinait alors les – 6 °C, le manie pourtant avec une efficacité et une ardeur réjouissantes. Photographié en début de semaine sur l’aéroport de Dresde, en Allemagne, il donne même l’impression d’avoir trouvé la meilleure et la moins chère des techniques pour dégivrer le nez d’un avion. A moins, bien sûr, qu’il ne se livre à cet exercice que pour la photo, ou pour se réchauffer. " />MANCHE À BALAI. Il est rare que les pilotes se servent de leur manche à balai de cette façon... et l’on ignorait d’ailleurs que cet ustensile faisait partie, dans sa version ménagère, de l’équipement de leurs cockpits. Mais celui-ci, en bras de chemise malgré une température qui avoisinait alors les – 6 °C, le manie pourtant avec une efficacité et une ardeur réjouissantes. Photographié en début de semaine sur l’aéroport de Dresde, en Allemagne, il donne même l’impression d’avoir trouvé la meilleure et la moins chère des techniques pour dégivrer le nez d’un avion. A moins, bien sûr, qu’il ne se livre à cet exercice que pour la photo, ou pour se réchauffer. " />MANCHE À BALAI. Il est rare que les pilotes se servent de leur manche à balai de cette façon... et l’on ignorait d’ailleurs que cet ustensile faisait partie, dans sa version ménagère, de l’équipement de leurs cockpits. Mais celui-ci, en bras de chemise malgré une température qui avoisinait alors les – 6 °C, le manie pourtant avec une efficacité et une ardeur réjouissantes. Photographié en début de semaine sur l’aéroport de Dresde, en Allemagne, il donne même l’impression d’avoir trouvé la meilleure et la moins chère des techniques pour dégivrer le nez d’un avion. A moins, bien sûr, qu’il ne se livre à cet exercice que pour la photo, ou pour se réchauffer. " title="Chacun sa méthode..." />MANCHE À BALAI. Il est rare que les pilotes se servent de leur manche à balai de cette façon... et l’on ignorait d’ailleurs que cet ustensile faisait partie, dans sa version ménagère, de l’équipement de leurs cockpits. Mais celui-ci, en bras de chemise malgré une température qui avoisinait alors les – 6 °C, le manie pourtant avec une efficacité et une ardeur réjouissantes. Photographié en début de semaine sur l’aéroport de Dresde, en Allemagne, il donne même l’impression d’avoir trouvé la meilleure et la moins chère des techniques pour dégivrer le nez d’un avion. A moins, bien sûr, qu’il ne se livre à cet exercice que pour la photo, ou pour se réchauffer. " border="0" /> MANCHE À BALAI. Il est rare que les pilotes se servent de leur manche à balai de cette façon... et l’on ignorait d’ailleurs que cet ustensile faisait partie, dans sa version ménagère, de l’équipement de leurs cockpits. Mais celui-ci, en bras de chemise malgré une température qui avoisinait alors les – 6 °C, le manie pourtant avec une efficacité et une ardeur réjouissantes. Photographié en début de semaine sur l’aéroport de Dresde, en Allemagne, il donne même l’impression d’avoir trouvé la meilleure et la moins chère des techniques pour dégivrer le nez d’un avion. A moins, bien sûr, qu’il ne se livre à cet exercice que pour la photo, ou pour se réchauffer. (Norbert Millauer/AP/SIPA)    Marigotine