Aristote et la passion

Publié le 15 janvier 2008 par Frednetick

Aristote avait une conception toute particulière de la démocratie. Grosso modo elle n’était pas pour le peuple. A quoi devait-on ce ségrégationnisme social? A l’idée assez simpliste que le peuple est guidé par sa passion et non par sa raison, laquelle, seule permet de déterminer l’intérêt général.

Gouverner demanderait ainsi de savoir se garder de trop violentes et soudaines passions.

Au lieu d’un remaniement gouvernemental, la france ne devrait-elle pas faire appel à un psychiatre? Je dis ça, je dis rien…