Rapport d’intervention

Publié le 26 décembre 2007 par Moy
Ce jour, de patrouille portée à bord du véhicule sérigraphié indicatif radio Zébra 3, constatons qu’une jeune femme brune de 25 ans environ, 1.69m, habillée d’une mini-jupe, de bottes et d’une veste nous fait signe.    Nous arrêtons à ses cotés, devant la station de métro ; rue de la Pompe.    Elle nous déclare qu’elle vient de se faire arracher son téléphone portable. Elle souhaite déposer plainte.    Nous l’invitons à monter à bord du véhicule administratif afin d’être conduite au poste de police.    Au service l’invitons à patienter dans un bureau le temps de chercher l’imprimé adéquate.    Constatons qu’à mon retour, cette personne, c’est démunie de sa veste et de son pull car déclare t elle :  -»il fait vraiment trop chaud dans votre bureau monsieur l’officier de police »

   Constatons qu’elle :   

   -s’assoit face à moi.

   - croise et décroisse ses jambes très haut, laissant m’apercevoir la dentelle de son tanga.    - passe très souvent ses mains dans ses cheveux qu’elle a lâchées sur ses épaules.    - penche sont buste très fréquemment vers moi afin de me laisser voir son profond décolleté.    - S’humecte les lèvres régulièrement en passant sa langue dessus.

   Interroger sur les faits elle me déclare : 

   -J’ai eu très peur monsieur l’inspecteur, j’en tremble. Ne voulez vous pas me prendre dans vos bras pour me réconforter ?

   Répondant par la négative elle poursuit :    -Regarder j’ai encore la chair de poule.    Sur ces faits elle retire son chandail, laissant apparaître un soutien gorge en dentelle.    La priant de se rhabiller, elle se lève et dit :    -Je marchais tranquillement dans la rue.    Joignant le geste à la parole, elle part en direction de la sortie de mon bureau dans un dandinement provocateur de son postérieur magnifique.    Je lui interdis de sortir déshabillé comme cela.    Elle revient dans ma direction.    Elle laisse tomber sa mini-jupe au sol.    Jette son string sur mon bureau.    Faisant le tour de ce dernier, elle se met à plat ventre dessus et danse en frottant ses fesses sur mon bas ventre.    Constatant que je bande comme un taureau, elle se retourne, se met à genoux devant moi. Elle ouvre ma braguette, enfourne ma queue dans sa bouche.    Constatons qu’elle fais des mouvements d’avant en arrière avec sa tête, que ses lèvres serrent ma verge, que sa langue lèche mon gland. Que ses mains mes branlent.    Ne résistant plus je lui tire les cheveux pour la faire remonter. Je la plaque ; ventre sur le bureau. Lui écarte les jambes, lui colle un doigts dans le vagin, lui lèche l’anus.    Décidons de lui planter ma bite dans le cul.    Constatons qu’elle se crispe de surprise.    Je lui enfonce mon pieu lentement entre les reins.    Constatons que son bas ventre est prit de spasmes. Que ses fesses se rejettent en arrière, pour repartir dans l’autre sens. Que ses mouvements ne font que de s’accélérer. Qu’ils sont accompagnés de cris plaintifs.    Constatons qu’après un cri plus fort que les autres, elle se tétanise.

   Décidons de lui dégrafer le soutien gorge, de la retourner sur le dos. Voyant ses deux gros seins provocateurs, je les saisies et y fait glissé mon sexe. Jouissant enfin je l’asperge de mon foutre.

   Que lit avec nous la requerante, ce jour, persiste et signe.

 LA REQUERANTE :   L’OPJ :