Leo Ferré...

Publié le 16 décembre 2010 par Philippemeoule
Un soir, comme çà, pour rien, en regardant la pluie, en traversant la nuit, une "Craven A" collée aux lèvres, on s'arrête là. On rit sur l'inutile qui nous poursuit, on pleure sur ce futur qu'on a perdu, "comme un cheval fourbu". Noël approche, qui, damné en année nous éloigne d'une enfance que l'on ne comprend plus. La mémoire s'embue sou les gouttes d'hiver et nos yeux se plissent quand le soleil nous brûle... Avec le temps...