Il y aura des mécontents à la lecture de l’ouvrage, ceux qui refusent de réexaminer cette triste période de notre histoire Nationale, avec l’argument toujours repris “qu’aurions-nous fait dans les mêmes conditions ?” Mais aussi ceux qui ne veulent plus entendre parler de Bousquet et de certaines amitiés.
On pourra essentiellement retenir les circonstances aggravantes qu’Alexandre Jardin accordent aux “intellectuels” et aux “gens bien”, lesquels au nom d’une idéologie et d’une philosophie dévoyées ont choisi le pire alors que le coeur aurait du l’emporter sur la pensée et les constructions théoriques.
Note d’humeur écrite lors de la promotion du bouquin :