Seul importe pour écrire ce qui n’a pas de nom (Jean-Michel Maulpois)

Par Arbrealettres


Seul importe pour écrire ce qui n’a pas de nom
dans aucune langue connue.
Cela, qui occupe en nous la plus grande place silencieuse,
tient sa vacance et son énigme de la mort même.

(Jean-Michel Maulpois)