Mes chers amis, Chers membres du club des mages clairvoyants, C'est par cette prière que je m'adresse à vous ! Ce matin, je me prêtais à quelques petites analyses cosmiques avec un pendule, je tentais de communiquer avec mon ange qui se montrait particulièrement discret. C'est alors que je découvre avec horreur une coccinelle posée sur le manteau de la statue de St Antoine de Padoue qui orne ma cheminée. Pourquoi avec horreur ? me diront les nouveaux membres. Cette petite bête n'est-elle pas annonciatrice d'un printemps imminent ? Que nenni ! Une bête à bon dieu sur un moine est avant tout signe d'absolution ! Or, comment pardonner à ceux qui nous discréditent ? Comment pardonner à ceux qui nous traitent de bonimenteurs ? Je vous donne un exemple. Ma voisine ne cesse de colporter, à mon sujet, des rumeurs infondées car elle prétend avoir été malade après avoir bu un philtre d'amour de mon cru ! Cette idiote a découvert que son mari, qui s'est montré très indiscret, prétextait une passion dévorante pour le cyclisme, pour draguer intensivement une jeune amazone à vélo ! Amour, trahison, mensonge... Cette banale histoire atteint son paroxysme lorsque, dans l'espoir de reconquérir son époux, cette épouse outragée change de look, adoptant une coiffure extravaguante, fruit de l'union entre une meringue ratée et un chapeau de Lady Gaga. Ce qui a eu pour conséquences que le mari volage a décidé de fuir et que l'épouse désespérée m'a consulté, avec la suite que vous connaissez. Y suis-je pour quelque choses, si en préparant ma recette, celle qui devait lui rendre son homme, elle a confondu jus de carottes avec du jus de calotte (dieu sait comment elle l'a récolté !!!). Suis responsable ? Je n'aurais qu'un mot, qu'une syllabe : Non ! Et je dis : point de pardon ! Aux armes citoyens, raisonnez musette, tâchons de faire taire les mauvais esprits et continuons le combat. Car comme l'a dit je ne sais plus qui : "Il n'existe pas de bouclier contre le mensonge" !
Voici ma participation au jeu de Livvy
... des mots choisis par les internautes le mardi à placer dans un texte le vendredi...
Mes chers amis, Chers membres du club des mages clairvoyants, C'est par cette prière que je m'adresse à vous ! Ce matin, je me prêtais à quelques petites analyses cosmiques avec un pendule, je tentais de communiquer avec mon ange qui se montrait particulièrement discret. C'est alors que je découvre avec horreur une coccinelle posée sur le manteau de la statue de St Antoine de Padoue qui orne ma cheminée. Pourquoi avec horreur ? me diront les nouveaux membres. Cette petite bête n'est-elle pas annonciatrice d'un printemps imminent ? Que nenni ! Une bête à bon dieu sur un moine est avant tout signe d'absolution ! Or, comment pardonner à ceux qui nous discréditent ? Comment pardonner à ceux qui nous traitent de bonimenteurs ? Je vous donne un exemple. Ma voisine ne cesse de colporter, à mon sujet, des rumeurs infondées car elle prétend avoir été malade après avoir bu un philtre d'amour de mon cru ! Cette idiote a découvert que son mari, qui s'est montré très indiscret, prétextait une passion dévorante pour le cyclisme, pour draguer intensivement une jeune amazone à vélo ! Amour, trahison, mensonge... Cette banale histoire atteint son paroxysme lorsque, dans l'espoir de reconquérir son époux, cette épouse outragée change de look, adoptant une coiffure extravaguante, fruit de l'union entre une meringue ratée et un chapeau de Lady Gaga. Ce qui a eu pour conséquences que le mari volage a décidé de fuir et que l'épouse désespérée m'a consulté, avec la suite que vous connaissez. Y suis-je pour quelque choses, si en préparant ma recette, celle qui devait lui rendre son homme, elle a confondu jus de carottes avec du jus de calotte (dieu sait comment elle l'a récolté !!!). Suis responsable ? Je n'aurais qu'un mot, qu'une syllabe : Non ! Et je dis : point de pardon ! Aux armes citoyens, raisonnez musette, tâchons de faire taire les mauvais esprits et continuons le combat. Car comme l'a dit je ne sais plus qui : "Il n'existe pas de bouclier contre le mensonge" !
Mes chers amis, Chers membres du club des mages clairvoyants, C'est par cette prière que je m'adresse à vous ! Ce matin, je me prêtais à quelques petites analyses cosmiques avec un pendule, je tentais de communiquer avec mon ange qui se montrait particulièrement discret. C'est alors que je découvre avec horreur une coccinelle posée sur le manteau de la statue de St Antoine de Padoue qui orne ma cheminée. Pourquoi avec horreur ? me diront les nouveaux membres. Cette petite bête n'est-elle pas annonciatrice d'un printemps imminent ? Que nenni ! Une bête à bon dieu sur un moine est avant tout signe d'absolution ! Or, comment pardonner à ceux qui nous discréditent ? Comment pardonner à ceux qui nous traitent de bonimenteurs ? Je vous donne un exemple. Ma voisine ne cesse de colporter, à mon sujet, des rumeurs infondées car elle prétend avoir été malade après avoir bu un philtre d'amour de mon cru ! Cette idiote a découvert que son mari, qui s'est montré très indiscret, prétextait une passion dévorante pour le cyclisme, pour draguer intensivement une jeune amazone à vélo ! Amour, trahison, mensonge... Cette banale histoire atteint son paroxysme lorsque, dans l'espoir de reconquérir son époux, cette épouse outragée change de look, adoptant une coiffure extravaguante, fruit de l'union entre une meringue ratée et un chapeau de Lady Gaga. Ce qui a eu pour conséquences que le mari volage a décidé de fuir et que l'épouse désespérée m'a consulté, avec la suite que vous connaissez. Y suis-je pour quelque choses, si en préparant ma recette, celle qui devait lui rendre son homme, elle a confondu jus de carottes avec du jus de calotte (dieu sait comment elle l'a récolté !!!). Suis responsable ? Je n'aurais qu'un mot, qu'une syllabe : Non ! Et je dis : point de pardon ! Aux armes citoyens, raisonnez musette, tâchons de faire taire les mauvais esprits et continuons le combat. Car comme l'a dit je ne sais plus qui : "Il n'existe pas de bouclier contre le mensonge" !