(…) Au fond, on a désormais seulement deux hypothèses: une chute contrôlée du gouvernement ou un effondrement incontrôlé, mais le fait que le PSD déclare ouvertement vouloir une élection et que le président reste silencieux, tout tend vers la deuxième option. "Il est inévitable que les citoyens portugais aient le dernier mot]i" a déclaré Passos Coelho, président du principal parti d’opposition le PSD, au quotidien Correio da Manha.
(…) Au fond, on a désormais seulement deux hypothèses: une chute contrôlée du gouvernement ou un effondrement incontrôlé, mais le fait que le PSD déclare ouvertement vouloir une élection et que le président reste silencieux, tout tend vers la deuxième option. "Il est inévitable que les citoyens portugais aient le dernier mot]i" a déclaré Passos Coelho, président du principal parti d’opposition le PSD, au quotidien Correio da Manha.