À la veille des élections de printemps, l'Action démocratique du Québec a semblé vainqueurs et vedettes d'une nouvelle situation politique dans la belle province. Rien de tout, si on m'aurait demandé. L'ascendance de l'ADQ à la position de opposition officiel dans l'assemblée n'a servi rien que pour démontrer que ce parti «en vedette» n'est plus qu'un autre apparition de l'Union Nationale ou conservateurs, qui evoque la peur dans le cœur de chaque libéral. Leurs politiques gémissants n'ont achevé rien pour avancer leurs buts de protection de la classe moyenne et l'avancement de leur programme politique. L'ADQ n'a pas porté les changements que ses souteneurs veulent, ni ses députés n'ont pas joué un rôle progressif dans les débats dans la chambre, toujours interrompre les discussions pertinents avec leurs gémissements fréquents qui ne contribuent rien à la polémique currente. s'échouer
L'ADQ s'est présenté le parti de change: pour une nouvelle autonomie à la scène fédérale, pour un changement dans les moyennes de relations entre le gouvernement et l'économie, une nouvelle réponse du gouvernement aux besoins des citoyennes, plus choix pour les consommateurs . Mais non, les adéquistes ne sont pas réussis dans leur rôle comme opposition saine et efficace. L'ADQ a échoué avec cette mandat lui donné par les citoyennes du Québec, on peut espérer que le part n'aura tant chance la dernière élection.
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