« En pleine crise, en montagne, (mauvais temps, un blessé dans la cordée..), c’est le moment que l’on prend pour se poser, pour discuter, pour guérir les blessures, pour se refaire une santé, pour se remobiliser, pour éventuellement changer d’objectif, pour se raconter des histoires, bref un moment pour recréer du lien et du sens. Alors qu’en entreprise, en période de crise, on assiste plutôt à une agitation inutile, une surenchère par rapport aux objectifs et aux enjeux (c’est comme sortir du refuge en pleine tempête avec des blessés) qui entraîne plus de la chose dont on cherche à se débarrasser. Et du coup, on se plante. »
Je trouve l’analogie de Pierre d’Alboy particulièrement percutante. Alors, à quand des stages en montagne dans le catalogue de formation des entreprises ?
Si vous avez quelques minutes, allez voir sa vidéo de présentation dans laquelle il expose la façon dont il travaille. Cela donne envie de se faire « coacher ». Qu’en pensez-vous ?