Tout au long de l’année, on a pu constater des violations des règles du droit international humanitaire de la part des différentes parties au conflit. Des délégués du CICR ont documenté des cas d’homicide, de menace, d’occupation de biens civils et de déplacement, notamment parmi les habitants des municipalités de la côte Pacifique.
En outre, dans diverses régions où il est présent, le CICR a pu observer comment la formation de nouveaux groupes armés s’est traduite par de nouvelles restrictions imposées à la circulation des habitants, qui ont eu des effets négatifs sur leur situation économique et leur vie sociale. (Lire la suite)
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