C'est vendredi, c'est le Bordel #65

Publié le 22 avril 2011 par Pagman

... Oui, c'est vendredi et même vendredi joli car le soleil luit, les jours rallongent et les jupes raccourcissent. Mais c'est encore le bordel dans pas mal d'endroits du monde que je ne citerai pas mais que vous reconnaîtrez aisément et il n'y a donc aucune raison que ce ne soit pas le bordel ici aussi. Alors c'est vendredi, c'est le bordel et c'est parti avec ce splendide fusil à chamallows, une manière de faire la guerre et l'amour en même temps. Car quelqu'un qui vous tire un chamallow dessus ne peut être foncièrement méchant.

Pour les gros tireurs, il y a la version au dessus.

L'événement à venir qui va ravir des milliards de téléspectateurs et faire chier le reste existe déjà en Pez. Ca, c'est fait.    

      Je peux vous proposer deux excellents moyens de ne pas vous faire piquer votre déjeuner.

J'ai un tee-shirt spécial "Je rêve de devenir Demis Roussos, ne serait-ce qu'une heure dans ma vie".

J'ai de la roulette à pizza de l'espace, pour les Trekkeurs avisés.    

J'ai de quoi faire pousser des Doughnuts. Vous humidifiez, vous laissez germer et hop, un arbre à doughnuts. Toh !

J'ai un arbre à livres et c'est pas plus bête qu'un arbre à doughnuts. C'est limite même plus intelligent mais tout dépend de ce qu'on met dedans.

J'ai du Pantone Iphone. Et Ipad. Et I tout. Bon, ben voilà.    

    

 J'ai une méthode révolutionnaire japonaise pour faire disparaître les rides. Du moins, le temps de porter les lunettes. Dès que vous les enlevez, les rides reviennent et en plus, vous avez la forme des lunettes sur la tronche. Bref, efficace.

J'ai tout sur l'art contemporain en un diagramme. C'est à la mode paraît-il. Enfin, depuis deux ans.

J'ai j'ose. Oui, j'ose.

J'ai des bonbecs qui font de doux rêves.

Je n'ai pas que du Iphone Pantone. J'ai aussi le Rubik's Cube qui va avec et il est carrément chouette.

J'ai une montre qui cache tout, sauf quand vous voulez connaître l'heure et, reconnaissons-le, c'est assez pratique.

 J'ai un pub renversante pour Hot Wheels dans un pays indéterminé.

Un bon moyen de réconcilier les nostalgiques de la photo d'avant et les amateurs de photo de maintenant. Apès, c'est très moche mais on ne peut pas tout avoir non plus.

      J'ai de quoi faire le coup de feu. Sans crainte.

J'ai un téléphone rétro pour La Chose.

Un jeu de société pas vraiment légal.

Et une souris magnifique par Vrouyr Joubanian, disponible sur YankoDesign.

Sinon, j'ai un Apple aussi. Un II. Oui.

J'ai quelques images éparses comme ce dunk en devenir, cette pomme qui défie la gravité, cette marmotte qui sieste et cette franche poignée de mains sympathique.

J'ai Cristiano Ronaldo qui a déconné après son but magnifique de la tête en finale de la Coupe du Roi face à Barcelone. Cristiano, ça va la grosse tête. Et on rend la bombe.

Sinon, j'ai de la carotte pour lui. Ca le rendra peut-être aimable mais rien n'est moins sûr.

J''ai un gouverneur Californien qui fume de la cigarette de la drogue qui fait rire et c'est pas bien comme symbole pour la belle jeunesse de notre pays qui n'aura plus de valeurs si tout va à vau-l'eau comme ça.

Après, on voit des trucs tout bizarres.

Parfois, on voit triple.

Parfois, on voit tout en noir.

Et parfois, on voit que c'est le moment de se mettre vite fait au surf.

Parfois, on n'a rien à dire si ce n'est bonjour mademoiselle.


Et parfois, on se dit que la vérité est ailleurs et qu'il se pourrait bien qu'elle soit dans le marais.

Ou qu'elle se cache dans l'alcohohohol. C'est pas johoholi.

Parfois, la vérité se cache dans une Dame de Fer. Avec une poigne de béton armé.

Ou derrière une couverture. Oui, des fois, elle est là, la vérité. Bon, des fois non.

Parfois, elle se cache la vérité et même dans des brunes piquantes qui font mal aux prunelles.

Parfois, la vérité est masculine pour contenter également les nombreuses lectrices de ce blog que je salue par la même occasion (hop, mouvement du chapeau, révérence altière et sourire n°2).

Parfois, la vérité est dans Nietzsche. Mais pas toujours.

Parfois, elle fait des trous car la vérité blesse de temps en temps.

Et sinon, la vérité, ça va deux minutes surtout quand on a le Golden Gate à inaugurer.

Il me reste quelques images comme ce Boris Karloff de qualité, ce tatoué qu'est à toué aussi, l'adresse officelle du Fan Club de Rod Stewart mais pas encore celle de son coiffeur et j'ai un regard rare, un regard titnotyque.

J'ai un WTF de qualité, une image de ma maman sur un bateau (coucou Maman), un rocher à éviter, une idée lumineuse et des bonbecs pour tout le monde.

Il me reste aussi un peu d'art qui traîne avec cette œuvre de Carolein Smit, un moine et un nonne en pleins ébats par Cornelis Van Haarlem en 1591 tout de même, des batonnets de glace géants par Mike Perry qui n'a aucun lien avec Katty (si ce n'est le nom, bon) et les Modern Heroes de Mauro Peruccheti qu'il ne faut pas confondre avec Mauricio Pocchetino.

Et avant de vous quitter, j'ai quelques Messages à Caractères Informatifs comme toutes les semaines, qui sont à prendre ou à laisser mais si vous laissez, j'en connais quelques uns qui s'en serviront.



Sur ce, je vous laisse. Je pars rejoindre ma fillotte dans une ville du sud dont je ne donnerai pas le nom mais je vous glisse un indice.

En vous remerciant bien beaucoup et n'hésitez pas à aller voir les articles de la semaine comme Casualties of War et Calaidonisme et Harold Joe Waldrum et Toutouyoutoutou et de Liker, de Twitter, de partager ce Bordel du Vendredi si et seulement si vous l'avez apprécié. Sinon, non. Buenas tardes a todos et vamos a la playa señor Zorro et hasta la vista, baby.