Faustine Seilman, The man who said no: pas encore interdit de fumer dans les clips

Publié le 08 février 2008 par Croytaque

Qu'est-ce qu'ils sont tristes les jeunes gens des beaux quartiers, mais ça le fait pour la chansonnette et pour le clip (de Jérôme de Missolz), statisme et mouvements mesurés, consomption organisée de clope sur une fixité où la voix qu'assouplit sans assoupir la voix de mademoiselle, des croisements virtuels de regards qui s'enfoncent dans le tien, spectateur égaré qui dit yes. Faustine Seilman ou Faustine Seilman Orchestra, c'est un peu pareil, c'est toujours l'album Silent Valley, toujours des p'tits Natais qui ne font pas de chanson sur Nantes, non, faut toujours la demander à Beirut: