Faux rebond (Myron Bolitar T3) d'Harlan Coben

Par Lagrandestef

Faux rebond

(Myron Bolitar T3)

d'Harlan Coben

Pocket (2006
Fleuve Noir (2005)

404 pages
(Fade away, 1996)

Thriller , EU
Résumé
Nouveau challenge pour l’agent sportif Myron Bolitar : l’ex-champion de basket se voit en effet proposer un poste de remplaçant au sein de la glorieuse équipe des Dragons du New Jersey. En échange Myron doit mener une enquête officieuse auprès des autres joueurs. Objectif ? Retrouver la trace de Greg Downing, basketteur superstar mystérieusement disparu.
Secondé par ses deux fidèles complices, le flamboyant Win et la belle Esperanza, ancienne lutteuse à la grâce féline, Myron va tenter de gagner cette partie qui s’annonce riche en coups tordus et autres rebondissements sanglants…


Mon avis : lu et bien aimé, comme tous les livres de cette série


L'auteur

Né en 1962, Harlan Coben vit dans le New Jersey avec sa femme et leurs quatre enfants.
Diplômé en sciences politiques du Amherst College, il a travaillé dans l’industrie du voyage avant de se consacrer à l’écriture.
Depuis ses débuts en 1995, la critique n’a cessé de l’acclamer. Il est notamment le premier auteur à avoir reçu le Edgar Award, le Shamus Award et le Anthony Award, les trois prix majeurs de la littérature à suspense aux États-Unis.
Traduits dans une quarantaine de langues, ses romans occupent les têtes de listes de best-sellers dans le monde entier. Le premier de ses romans traduit en France, Ne le dis à personne (Belfond, 2002) – prix du polar des lectrices de Elle en 2003 – a obtenu d’emblée un énorme succès auprès du public et de la critique. Succès confirmé avec : Disparu à jamais (2003), Une chance de trop (2004), Juste un regard (2005), Innocent (2006), Promets-moi (2007), Dans les bois (2008), Sans un mot (2009), Sans laisser d’adresse (2010) et Sans un adieu (2010), son premier roman écrit à vingt-cinq ans à peine.

Adapté au cinéma avec François Cluzet et Kristin Scott-Thomas par Guillaume Canet en 2006, Ne le dis à personne a remporté quatre Césars et s’est hissé en tête du box-office des films étrangers aux États-Unis.