Après une nuit calme de traversée, nous reprenons un bus local en direction de Prapat et du lac Toba. La route de montagne est toujours aussi magnifique, mais fatigante à cause des lacets qui nous balancent de droite à gauche, puis de gauche à droite.Dans le bus, la plupart des Indonésiens sont malades ; ils crachent ou vomissent dans des petits sacs en plastique qu’ils jettent ensuite par la fenêtre. Je suis moi-même sur le point de succomber pendant toute une partie du voyage à cause des odeurs et des bruits… Nous arrivons enfin à Prapat où il pleut à verse.Ce matin, courte traversée jusqu’à l’Île de Samosir, au milieu du lac Toba, où nous nous reposons. De quoi, on se le demande ?
Après une nuit calme de traversée, nous reprenons un bus local en direction de Prapat et du lac Toba. La route de montagne est toujours aussi magnifique, mais fatigante à cause des lacets qui nous balancent de droite à gauche, puis de gauche à droite.Dans le bus, la plupart des Indonésiens sont malades ; ils crachent ou vomissent dans des petits sacs en plastique qu’ils jettent ensuite par la fenêtre. Je suis moi-même sur le point de succomber pendant toute une partie du voyage à cause des odeurs et des bruits… Nous arrivons enfin à Prapat où il pleut à verse.Ce matin, courte traversée jusqu’à l’Île de Samosir, au milieu du lac Toba, où nous nous reposons. De quoi, on se le demande ?