3 jours à tuer de Louis Lanher

Publié le 11 juin 2011 par Angelita
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Maximillion Cooper, 30 ans, veut remporter une course fabuleuse, au volant de sa Bugatti , l’Ultimate Race. Le meilleur gagne. Et ce n’est pas un Esquimau, qui après la mort affreuse, de sa petite amie ou un homme dont la famille a péri dans les tours du 11 septembre, qui vont l’en empêcher.

Entre des souvenirs d’enfance, la course avec de fameux bolides que rien n’arrête. Mais cela prend 3 jours et outre ses concurrents, Maximillion doit faire face à un garçon Gregory à qui il en a fait voir de toutes les couleurs et qui s’est vengé.

Dans ce roman, on navigue entre la course et le passé. L’enfance de Maximillion, véritable génie mais aussi un bourreau, un tyran et un psychopathe qui fait souffrir les autres. A l’adolescence, cela change, l’agressé devient bourreau. Maximillion et Grégory sont amoureux de la même fille. Maximillion rêve de courir depuis toujours.

Mais Maximillion prend ses rêves pour la réalité. Est-il si fabuleux que ça ? Ne vit-il pas dans un rêve ? N’a-t-il pas pris la place de Grégory et sa fortune ?

Maximillion tue plusieurs fois Gregory.

Je ne peux pas parler de ce roman. J’ai été déstabilisée. Pas par l’histoire qui se chevauche mais par la fin. A qui a-t-on eu vraiment affaire ?

Autrement la lutte pour la première place dans la course équivaut à la lutte pour la première place dans le coeur de Zoé. Mais a-t-elle choisi le bon homme ? Celui qui veut à tout prix lui plaire et qui s’invente des histoires ou celui qui a réussi à avoir son coeur mais qui la traite mal, comme une écervelée, comme un prix.

Zoé et la Bugatti sont un peu similaires. Les hommes sont amoureux de leur voiture, de ses performances, de sa beauté. Mais ils recherchent juste chez une femme de la beauté (même si Zoé n’a pas un corps parfait) mais elle se tait, ne dit rien et regarder la vie venir à elle sans se préoccuper du reste.

Les scènes sont quand même assez crues, surtout lors des accidents ou des meurtres.

Jalousie envers une personne riche qui a réussi grâce à la fortune de la mère et qui collectionne les voitures de course.

Outre cette déstabilisation qui m’a empêché de tout comprendre, c’est en tous les cas rondement mené. On ne s’ennuie pas une minute, c’est sûrement dû à cette course.

Je remercie Obiwi pour l’envoi.

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éààééàJe ne t’oublies pas pour l’interview, je m’en occupe ce weekend sans faute!

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