Une équipe finlandaise s’est intéressée à 60 patients hospitalisés pour AVC. Juste après leur accident, une partie se voyait proposer deux heures quotidiennes de musique de leur choix. Ce « traitement » a été poursuivi six mois, les autres membres de la cohorte constituant le groupe contrôle.
« Trois mois après leur AVC, nous avons remarqué que les patients du groupe traité étaient moins déprimés. Par ailleurs, leurs progrès en matière d’élocution étaient plus importants » souligne l’un des auteurs. Ce dernier affiche toutefois un optimisme mesuré. « Il s’agit de la première étude sur ce sujet, nous avons donc besoin de confirmer ces données auprès d’une cohorte plus large. »