Avant de venir en Corse cet été, remplissez votre iPad de Petits Classiques

Par Ngmaestro

Nouvelles

De Acquansù Éditions, le mercredi 15 juin 2011 à 11h38

Les livres de la "Petite bibliothèque de Classiques sur la Corse" sont disponibles sur Izibook.
Découvrez ce que Voltaire a écrit sur la Corse. Partagez le coup de foudre de Boswell pour Pascal Paoli en 1765. Vivez les mésaventures de Glatigny à la gendarmerie de Bocognano en 1869. Laissez-vous surprendre par la véritable histoire de Mateo Falcone. Accompagnez Pauline de Bradi dans sa passion pour une légende corse ancestrale. Parcourez la Corse du XIXe siècle avec Alphonse Daudet...
Tous les textes sont enrichis de documents d'époque, d'une chronologie contextuelle, de points de repères sur l'histoire de la Corse, de compléments thématiques qui les mettent en perspective et à la portée de tous.
Ces textes rares, ces ouvrages introuvables ou ces classiques célèbres sont prêts à télécharger en quelques clics... mais sont aussi disponibles dans leur version papier !
Deux nouveautés pour l'été :
Heures de Corse, de Jean Lorrain, 1905.
et
Promenades en Corse, de René Bazin, 1913, extrait de « Nord-Sud ».
Si le nom de Jean Lorrain évoque surtout les excentricités d'un dandy des années folles, on a oublié qu'il était, à la fin du XIXe siècle l'un des chroniqueurs les mieux payés des journaux parisiens. On ne lit plus guère ses romans ou ses poèmes, on ne joue plus ses pièces au théâtre, mais on peut redécouvrir avec bonheur le récit des escapades qu'il fit en Corse. Et pour elle, il a trempé sa plume dans une encre moins acide que le vitriol dont il se servait pour critiquer ses contemporains.
Lorsqu'il publie Nord-Sud en 1913, René Bazin est membre de l'Académie française depuis dix ans déjà. Il tombe sous le charme des beautés de l'île et plaide pour le sort de ses habitants : « [...] de quoi vivent-ils ? C'est leur secret. Je les ai vus cueillir l'olive et la châtaigne ; ils restent maigres ; ils dépensent en politique un beau goût d'aventure, en querelles locales un courage ombrageux ; ils n'aiment au fond que la Corse, que la très pauvre Corse. ».