La Capitale du Dauphiné surveille avec indifférence croissante le feuilleton de son club professionnel de football comme si la sortie positive était devenue impossible depuis longtemps déjà.
La résignation a pris le dessus.
Depuis de très longs mois, la Ville de Grenoble et son agglomération vivent au rythme des reprises avortées.
C'est un feuilleton qui a beaucoup impacté la crédibilité des parties au dossier.
Souvent habitués à être sur le podium ou du moins persuadés de l'être, les Grenoblois peinent à comprendre qu'un Club de ce niveau soit ainsi dans une impasse totale.
Lyon et Evian - Thonon vont tirer profit de cette situation gagnant des spectateurs lors de matchs importants avec des équipes emblématiques.
Il reste désormais aux collectivités locales à privatiser le stade pour limiter les frais ; orientation déjà engagée dès avril 2011.
Les conditions actuelles ne vont pas leur permettre de négocier en force ; c'est un euphémisme ...
Il est probable que Michel Destot va s'exprimer prochainement sur ce dossier.
Actu : sur notre blog, nous présentons l'organisation de Barack Obama pour tenter de garder une longueur d'avance en 2012 sur le créneau des nouvelles technologies :
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