Nuit noire... enfin presque... et des chauves-souris

Par Vanessav
Pendant quelques semaines nous devons évitez le soleil, la plage et la mer. Alors nous sommes dans le jardin et nous avons profiter de ce rythme "alterné" pour passer une nuit blanche.
Direction la terrasse côté jardin, les couettes et les transats. Parce que oui, pour une première, nous ne sommes pas partis dans les bois et nous avons choisi le confort de rentrer dès qu'il ferait froid (soit 3 heures dans la nuit pour cette fois).
Et nous avons regardez le jour décliner. Je m'attendais à regarder arriver la nuit noire... mince à minuit, rien de tel encore, plus qu'une nuit claire, une nuit pas encore complète. Alors nous avons juste admirer le dégradé dans le ciel, plus clair là où le soleil se couche. Puis un coup d’œil de l'autre côté de la maison, comme quoi les vérandas aident et nous laissent traverser la maison de part en part. Et là, nous avons observer la nuit dans la rue, avec les réverbères de cette petite ville... une pénombre allumée.
Puis le spectacle des chauves-souris voltant en zigzag juste au dessus de nos têtes pour notre plus grande joie. Toutes petites, silencieuses, tournoyantes dans la première pénombre... parce que oui à partir de 22h, elles n'étaient plus dans le jardin... mais sous les réverbères. Seraient-elles là où sont les insectes et papillons de nuit: oui avec la lumière.
Pas moyen toutefois de savoir de quelle espèce elles sont. Et il fallait une autre sortie nocturne, dans la rue, sous les réverbères, pour les voir avec leur fourrure.
Et le lendemain encore, pour les découvrir encore mieux... dans un livre "Explorateurs junior, le guide de terrain pour les petits aventuriers".

Et puis les bruits de la nuit. Oh pas vraiment sauvages... par une soirée chaude c'étaient les autres humains que nous entendions: barbecue, soirée dansante et musique... et des voitures au loin. Nous n'avons pas rencontré d'autres bruits, d'ailleurs tant mieux celui du moustique ne nous manquait pas. Le lutin encourageait d'ailleurs les petites bêtes à les manger, bien-sûr.
Bon, je me rabats sur la chauve-souris... pas de grésillements sur les vrais, alors la chanson de Thomas FERSEN et l'ouverture de STRAUSS:


De quoi regarder autrement la nuit... et nous rappeler quand elle décline vers l'aube.