(Le gouvernement) a, disent ses critiques, était incapable de contrôler la corruption et l’endettement public, pris du retard dans la construction d’infrastructure. (Mais aussi) les coûts du travail ont crû, particulièrement chez certaines entreprises contrôlées par l’État : la facture salariale de Steel Authority of India a augmenté d’un énorme 41%, l’année fiscale dernière. Indiscipline et croissance plus faible que prévue ont réduit les profits dans des secteurs tels que le ciment, la construction, l’immobilier et les télécommunications.Selon The Economist.
L’Inde est-elle la puissance de demain ou un chaos en construction ?