On me raconte l’histoire suivante :
Les acheteurs des grandes entreprises imposent des prix de plus en plus faibles à leurs sous-traitants.
Certaines sociétés de service feraient des propositions de moins en moins solides. Une fois le contrat décroché, on a recours à l’avenant pour corriger les insuffisances de l’offre initiale. Le client à un mauvais service, et son fournisseur gagne bien mieux sa vie que s’il avait fait une proposition honnête. D’ailleurs, pour survivre, toute la profession doit suivre ce modèle.
Cela mériterait d’être vérifié par une étude scientifique. Mais, en tout cas, le cercle vicieux est élégant.