De l’école littéraire féministe trash

Par Pikkendorff

Comment mieux exprimer ma désolation devant ces écrivains trash?

“Dans les années 1990, une nouvelle génération d’écrivaines se lève, formées par le rock, la toxicomanie, le féminisme et la pornographie, Marie Darrieussecq, Virginie Despentes, Christine Angot peignent, pardon graphe la femme postféministe, libre et complètement déboussolée, méprisant les hommes tout e s’y attachant, tellement concernées qu’incapables de s’engager, bref malheureuses mais aimant ça.  Leur écriture s’en ressent naturellement, plus proche de twitter que de d’Anatole France.  C’est vraiment la littérature féminine de l’époque, qi sent bon l’alcool, le crack, les chiottes de boîtes de nuit, les coups échangés avec son mec…On peut regrouper tous ces talents dans l’école littéraire « Elle/Marie-Claire » qui promeut un féminisme trash.”

Manuel d’inculture général, 2009, Basile de Koch

Il n'y a pas à aller chercher plus loin le pourquoi de la promotion de ces livres par la presse féminine ; ces livres où les fluides remplacent le talent.