salope progressiste et satrape marakchi

Publié le 01 août 2011 par Hoplite

Retrouvé mon berger avalin stoïcien (qui lisait Marc-Aurèle en gardant ses clarines, l’an passé), dans la même vallée, avec ses vaches, seul. Faudra que je lui offre Jardins et routes, il le mérite.

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En revenant, lecture toujours instructive du comique quotidien des Rothschild et du portrait d’anne Mansouret, la désormais célèbre mère de Tristanne Banon qui réchappa des griffes du satrape marakchi socialiste. Accorte sexagénaire vivant seule avec deux chiens après une vie chaotique centrée sur son seul désir, racontant à qui veut bien ne plus compter ses amants, ses cassures, sa relation « brutale mais consentie » avec le presque violeur de sa fille en 2000, son regret d’avoir laissé sa fille seule (d’une bonne à tout faire marocaine qui la battait aux pensionnats peoples et aux amis compatissants pendant qu’elle passe des annonces dans le Nouvel Obs pour trouver un autre mec et qu’elle passe à Bas les masques pour se raconter…) et malheureuse :

« Mère courage à ses yeux,  elle « ne se fait jamais de reproches » car, « stoïcienne », elle « agit après avoir arbitré de la meilleure façon »…

ha ha, sans déconner, tu parles d’un arbitrage ! ni stoïcienne ni épicurienne, juste paumée, n’écoutant que son cul et son hubris de bourgeoise progressiste.

Le genre de posture « libérée » qui devrait logiquement rallier les suffrages de tout ce que la planète progressiste compte de sociologues déconstructionnistes ou de philosophes roumaines relativistes ontologiquement fascinés par la « transgression des derniers tabous » et par la pseudo « émancipation » de toute morale ou de toute décence commune, posture dont le marquis de Sade reste l’horizon indépassable des cohortes de Sylviane Aganzynski et d’Eric Fassin qui pullulent dans ce genre de torchon. Et bien non, on sent dans le ton de l’article une distance inhabituelle devant pareil archétype d’émancipation de l’ordre moral, comme si cette connasse narcissique (parfaite incarnation de cet « homme psychologique, dernier avatar de l’individualisme bourgeois" de Lasch) au parcours chaotique de paumée dérangeait…peut-être le fait d’aggraver la situation judiciaire du « socialiste » Strauss-Kahn ? Pauvre gamine.

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Dans le même journal, le « buzz » sur la réaction de JMLP sur la naïveté des autorités norvégiennes en matière d’immigration. On apprend par ailleurs qu’à Oslo, le prénom le plus donné en 2010 est mohamed. Et il est bien sûr évident que l’irruption, massive et sur un temps très court, de populations extra-européennes sur un continent post-chrétien et post progressiste anomique gangrené par le multiculturalisme (relativisme culturel) et le déconstructionnisme ne peut qu’aboutir à un festival arc-en-ciel ou la paix et la tolérance règneront…bien sûr.

Le genre de truc qui reste une évidence partout ailleurs qu’en Europe ; imaginons une seconde que le premier prénom donné à Casablanca, à Bombay ou à Constantinople soit Kévin ou Kimberley, quelle serait la réaction des autochtones ? Une fête du vivre-ensemble ? Une festipride ? une épuration ethnique ?

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Avant de picoler, je corrige le geste de mon aîné qui joue au tennis et in petto je repense à Hérodote qui raconte dans son Enquête comment les perses dans l’Antiquité n’apprenaient à leurs enfants que trois choses : monter à cheval, tirer de l’arc (sic) et ne jamais mentir. Comment échapper à son époque ?