Cannabis : la vie de nos enfants vaut-elle 1 milliard d’euros ?

Publié le 07 août 2011 par Infodrogue

Tel est le produit présumé de la mise en vente du cannabis et les « soi-disant » économies réalisées sur les interpellations d’après l’économiste Pierre Kopp…

Belle action commerciale qui aura pour effet l’asservissement et la destruction de la jeunesse, et bien sûr à terme de la société complète !

C’est ce que refusent absolument les bénévoles de l’association « Non à la drogue, oui, à la vie » qui sont présents chaque samedi sur le terrain pour informer des dangers de consommer des drogues en distribuant gratuitement des livrets de prévention.

« S’il existait un gouvernement qui eut intérêt à corrompre ses gouvernés, il n’aurait qu’à encourager l’usage du haschisch » a écrit Baudelaire qui, en plus, utilisait un cannabis beaucoup moins puissant que celui disponible actuellement.

Déjà, dans les années 60, dans un livre intitulé « Un corps pur, l’esprit clair », le philosophe Ron Hubbard déclarait « L’élément le plus destructeur de notre culture actuelle est la drogue ».

On peut légitimement se demander de quoi cet « économiste » a-t-il tenu compte dans ses calculs ?

Cet « économiste » a-t-il seulement précisé quel cannabis serait légal ? Quelle concentration en THC serait autorisée ? Car, bien sûr il se développerait immédiatement un marché noir pour vendre du cannabis plus puissant… Sauf que ce trafic ne pourrait même pas être arrêté puisqu’on supprimerait les « interpellations » !

Cet « économiste » a-t-il évalué le coût que représente la scolarisation d’un enfant depuis son plus jeune âge jusqu’à l’adolescence – école maternelle, école primaire, collège, lycée, activité culturelles extrascolaires… -puis avec le cannabis pris en toute légalité, cet ado devient un zombie incapable de travailler qui non seulement ne participera pas à la société mais en deviendra un parasite ! Et encore à condition d’oublier la délinquance, les suicides et les accidents qu’il va provoquer ! Car le fait que le cannabis soit légal n’en fait pas un produit inoffensif…

Cet « économiste » a-t-il pensé au paradoxe devant lequel se trouverait le juge qui aurait sur les bras un accident de la circulation avec le conducteur sous l’emprise de cannabis… qu’il a consommé en toute légalité ! Et là, qui sera responsable ? Le législateur ?

Oh, bon sang mais c’est bien sûr : j’avais oublié qu’on emploierait les économies réalisées à faire de la prévention ! Ah, mais alors, il n’y a pas d’économie, on ne renfloue rien du tout et on se prend en plus les conséquences dramatiques de l’augmentation de la consommation !!! On imagine déjà le discours « c’est légal mais faut pas en prendre, hein ? »…« Ah bon, d’accord ! » répondraient sagement les adolescents devenus pour l’heure des « enfants-modèles ».

Soit les compétences de cet « économiste » sont aussi limitées que la capacité à penser d’un toxicomane, soit il a été payé pour faire une telledéclaration, car il se trouve un certain nombre de déclarations pro-légalisation à l’heure actuelle qu’on ne peut pas considérer comme des coïncidences !

« Le seul moyen de juguler ce fléau consiste à  faire de la prévention efficaceet cela passe par l’information et l’éducation dès le plus jeune âge » a déclaré Robert Galibert, président de l’association « Non à la drogue, oui à la vie ».

C’est pourquoi la campagne de prévention de l’association « Non à la drogue, oui à la vie » apporte des connaissancesà travers des « kits de prévention » comprenant, 13 brochures factuelles sur les drogues les plus courantes (Cannabis, Héroïne,Cocaïne, Crack, Ecstasy, LSD, Antidouleurs, Crystal Meth, Ritaline, alcool, drogues psychotropes prescrites ou drogues par inhalation), ainsi qu’une série de 16 spots vidéo de 30 secondes intitulés « ils ont dit, ils ont menti »  et enfin plus de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques. Ces kits sont distribués gratuitement

Un manuel de l’enseignant est également mis à la disposition des éducateurs afin de dispenser la connaissance dans les milieux scolaires.

Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org

Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57 info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr