The Oxford Murders

Par Alessa @pascalelovesyou

Oxford, Elijah Wood, des énigmes mathématiques, autant de signes qui me chuchotaient à l’oreille « Pascaaale, regarde ce fiiiilm ».

Voilà qui est chose faite!

Dans ce film de 2008, on retrouve Elijah dans le rôle d’un sympathique étudiant américain (Martin) qui débarque à Oxford pour sa thèse, endroit qu’il a choisi pour rencontrer son idole de toujours, à savoir le professeur Seldom. Peu après son arrivée (et un gros bide qu’il se prend devant le professeur qui le casse royalement sous le nez de toute l’unif), un meurtre survient, le premier d’une petite série. Je vous passe les détails, mais les circonstances vont faire que lui et le professeur Seldom vont plus ou moins se retrouver partenaires dans le but de découvrir les motivations mathématiques qui sont derrière ces actes.

Il est pas chouchou là-dessus? :3

Mon avis?

(+)

  • Les dialogues entre les deux protagonistes sont un régal! C’est un petit festival de petites réflexions pseudo-mathématico-logico-philosophiques que j’ai adorées suivre.
  • Le coupable (les coupables?) ne sont heureusement pas révélés au cours de l’intrigue, on se retrouve sur le même pied que Martin, et ça fait bien plaisir de pouvoir faire marcher ses méninges. (J’avais quasi deviné qui c’était, haha!)
  • Personnellement, je ne crache jamais sur une petite histoire d’amour, et bien j’ai été servie. La demoiselle est bien sympathique d’ailleurs.
  • Le décor d’Oxford.

(-)

  • De nouveau un film où le personnage principal a une vie sans cohérence. Bonjour, je suis Martin, je viens faire une thèse, mais je passe mon temps à courir partout et faire des devinettes sur des meurtres et j’ai rien d’autre à faire dans ma vie. Mouaha.
  • Certains personnages secondaires à l’air bien glauques trop peu exploités (Beth, et puis le ‘pote’ russe de Martin).
  • Un scénario qui casse pas la baraque, au final.

Notre team de choc.

Donc, bien, mais pas génial. Un film qui vous ira sûrement si vous avez envie d’une bonne énigme meurtrière mais sans grandes prétentions. À voir surtout pour Oxford (et Elijah, quand même!).