Du moins ne permettront-ils pas d’endiguer la proverbiale prodigalité publique française.
Tout ce que le « brave » numéro 2 réussira à faire, c’est de casser toute croissance possible et de remettre à ses successeurs un porte-monnaie national troué pour 2012 et qui ne cesse de perdre plus qu’il ne gagne.
La faute à la politique débile de l’UMP depuis 2007, et même avant, bien entendu.
Mais ça nos aimables voisins l’ont voulue. Et l’on eue.