Chronique d’une mort annoncée de Gabriel Garcia Marquez

Publié le 25 août 2011 par Cardigan @onlyapartmentsF

Si nous devons parler d’un des écrivains contemporains les plus influents, il nous faut sans aucun doute mentionner Gabriel Garcia Marquez, car cet homme, prix Nobel de littérature est une véritable fabrique de romans, contes, scénarios et tous ce qui touche à l’écriture.

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Gabriel Garcia Marquez est colombien et représente dans son œuvre toute la littérature latino-américaine qui  grâce à lui à été plus diffusé dans le monde entier. Il nait à Aracataca en 1927 et aujourd’hui en 2011, à 84 ans il est toujours passionné par les livres et tous les textes en général. Son opinion est écouté dans le monde entier et Cent ans de solitude, le roman pour lequel il à reçut le prestigieux prix Nobel, à été traduit en 35 langues, le consacrant dans le monde entier comme l’une des écrivains les plus merveilleux de la planète.

Il créa aussi en genre et une style littéraire, le réalisme magique et lorsque on commence à lire un de ses livres on comprend rapidement ce concept. Pendant toute sa vie, comme beaucoup de ses collègues, il résida dans de nombreuses villes mais Paris le marqua d’une façon spéciale. Il y résida en 1956, dans un petit hôtel, enfermé pendant toute la journée pour écrire.

Chronique d’une mort annoncée est une œuvre magnifique qui raconte d’une façon romancé un fait réel qui eut lieu en 1951 et dont Gabo c’est souvenu en 1981, année de sa publication. Garcia Marquez, étant journaliste, prenait tous les faits de la vie quotidienne, observait les personnes et créait des personnages, il enregistrait les paysages dans sa mémoire et ensuite formait des scénarios. Il avait la faculté d’utiliser un fait ponctuel, souvent insignifiant pour les autres et de le transformer en une œuvre littéraire d’excellente qualité.  

Dans ce roman il raconte l’histoire d’une mort, comme son nom l’indique. Le lecteur sait depuis le début que le personnage principal va être assassiné, mais ce n’est pas seulement le lecteur qui le sait, mais aussi tout le village dans lequel se déroule l’histoire et même Santiago Nasar lui-même sait que dans très peu de temps on va le tuer. Dans cette malice de l’auteur nous notons sa grande capacité pour accrocher le lecteur et ne pas le lâcher jusqu’à ce qu’il ait lu le dernier mot du livre.

Chronique d’une mort annoncée est un roman amusant, bien qu’il raconte la mort d’un jeune homme, qui montre plusieurs outils littéraires utilisé par Garcia Marquez et c’est pour cette raison qu’il s’analyse dans certaines écoles spécialisées en littérature latino-américaine. 

Si on lit l’œuvre complète de l’écrivain colombien, on découvre qu’il raconte sa vie, bien que d’une façon un peu décorée par les adjectifs et les métaphores qu’il utilise. Évidement il prend la liberté de changer la réalité par quelque chose qu’il préfère, cherchant ainsi une meilleure histoire pour ses lecteurs.

d.b