De la femme au respect.

Publié le 27 août 2011 par Helowise @Helowise
Les femmes faciles, les hommes les aiment bien mais les considèrent mal. Elles se méprisent elles-mêmes, en ne s'estimant pas à leur juste valeur ...Mais il leurs est encore plus désagréable de ne pas profiter des faveurs qu'elles leurs accordent. Même s'il est vrai qu'une victoire trop rapide les laisseinsatisfaits.
Lorsqu'un homme désire ardemment une femme, il ne peut que se réjouir si elle lui cède sans difficulté. Mais après il n'a pour elle que du mépris. L'homme le plus favorisé oubliera d'autant plus vite qu'il aura obtenu plus facilement ce qu'il convoitait avec tant d'ardeur.
Une femme souhaitant être respectée doit avant tout se respecter elle-même et ne pas céder trop facilement au risque de n'être qu'un trophée de plus pour l'homme sans pour autant avoir une quelconque importance pour lui.
Pourquoi mettre ces charmes à disposition aussi facilement ?Certes, comme le disent certains philosophes, il y a des femmes qui désirent les hommes comme la forme désire la matière, il faut donc s'attendre à en trouver quelques-unes de cette espèce.
Une femme pleine d'espritet ne donnant pas son corps à chaque homme lui plaisant obtiendra d'autant plus d'estime et de respectde la part des hommes.
Les femmes se plaignent de n'être que du gibier pour ces chasseurs. Voyons donc les choses sous cet angle. Ceux-ci peuvent attraper plusieurs gibierssans pour autant être satisfaits car la chasse aura été trop facile. Mais lorsque le chasseur distingue une perle rare, celle dont il pourra être fier, il se réjouit d'avantage de ne pas avoir pu l'attraper facilement.
Faut-il rappeler ce que disait Platon ? Il disait que seule l'âme méritait à être aimée, et que dans l'être aimé seule la vertuétait digne d'amour. Ainsi les femmes délivrant leurs charmes à qui le veut perdent de leur qualité à être aimée.
Mes positions ne sont peut-être ici pas issues de la haute sagesse mais elles demeurent ainsi dans mon esprit. L'expérience et le recul ont alors permis cette réflexion qui je m'en doute ne sera sûrement pas au goût de tous.
Héloïse.