Hormone, je crie ton nom

Publié le 06 septembre 2011 par Juval @valerieCG

Parfois on se désespère en se disant que ca fait un petit moment qu’on n’a pas lu une bonne étude sur les différences hommes/femmes.

Pourquoi les femmes aiment le rose ? Parce qu’à la préhistoire maman Néanderthal cueillait des fleurs roses et ca s’est imprimé dans le cerveau reptilien.
Pourquoi les hommes sont violents ? Parce que c’est hormonalo-génético-préhistorico-inscrit dans leur chair.

Aujourd’hui, nous allons apprendre pourquoi les femmes ne vont pas vers des carrières scientifiques. La raison est biologique (evidemment).
Evidemment je suis un peu perplexe en me demandant comment faisaient les hommes préhistoriques avec toutes leurs hormones scientifiques en ébullition sans l’ombre d’un crayon, d’un tableau, d’un ordinateur, d’une addition ou d’une roue. Heureusement que les hormones femelles poussaient les femmes à rester dans la grotte à discuter et à faire assistantes sociales. On a ainsi vu des générations de Joëlle Mazart s’épanouir à Lascaux (cette haute référence ne parlera qu’aux plus de 30 ans ; les autres cultivez-vous).

Il faut en fait comprendre que les femmes sont intéressées par les gens et pas par les choses. Prenons par exemple les gens habitant dans la Corne de l’Afrique. Et bien les femmes y sont toute occupées à faire carrière dans le social pendant que les hommes sont mathématiciens ou ingénieurs. Gageons que je peux appliquer cet exemple à 70% de la population mondiale.

A moins que ce taux hormonal ne fonctionne que pour les blancs des pays riches et industrialisés. Ce qui serait passablement curieux pour un taux hormonal.