Une fois que je me suis habituée à la forme, je n’ai pas accroché avec les différents personnages. Ils semblent tous condamnés à la dépression éternelle, telle une peine incompressible infligée à la société américaine depuis le 11 septembre.
Je n’ai pas aimé la « morale » du Crépuscule des superhéros : l’auteure, Deborah Eisenberg, laisse à penser que les superhéros n’existent pas (plus). Or je suis d’humeur à conquérir la planète !