Julien Gracq

Publié le 12 octobre 2011 par Christophefaurie
La presque île est une surprise. Ses trois grandes nouvelles reprennent la trame du Balcon en forêt. Succession d'évocations de paysages ou d’atmosphères, admirables sans nul doute, conclues par un événement brutal et mystérieux.
Mais ces événements finals m’ont semblé une justification gratuite d'un processus mécanique. J’avais beaucoup aimé le Balcon, et je suis déçu.