Prix Constantin : la boîte à question de Cyril Mokaiesh

Publié le 17 octobre 2011 par Swann

Vous connaissez mon amour pour les interviews un peu délurées ? Il était inimaginable pour moi de ne pas en faire une avec Cyril Mokaiesh, binôme du blog pour les 10 ans du Prix Constantin. Avant, il faut que je te raconte les péripéties d’une reine de la non-organisation Brune en vrai mais blonde à l’intérieur. Premier interview, lundi avec ma boîte à bonbon rose de fille, Hello Kitty. L’interview suit son cours. Une fois dans la boîte, tout le monde reprend sa vie. Sauf que arriver chez moi deux mauvaises surprise : 1. la vidéo est pas cool (le son trop mauvais) 2. Hello Kitty n’est pas dans mon sac. Où diable l’aurai-je laissé. Je déprime pour la vidéo, frise même un peu la crise de nerf (oui ça m’arrive). Le lendemain, je retourne au Dôme, café où nous nous étions installés. « Oui, mademoiselle, je vois bien de quelle boîte vous parlez..Malheureusement je l’ai jeté à la poubelle« , me dit l’un des serveurs, sans cœur qui aurait quand même pu la mettre de côté (genre « objet trouvé). Bref.

Réorganisation totale, donc, on fixe un nouveau rendez-vous, à la Marmitte, et cette fois, ça se passe comme sur des roulettes grâce à une équipe de choc qui vient à ma rescousse : Benoît (mon sauveur) et Eléonore (ma sauveuse).

J’ai donc mis en pêle-mêle dans une nouvelle boîte des questions plus ou moins décalées, et Cyril Mokaiesh devait en piocher au hasard. Certaines sont de moi, d’autres de fans, ou d’amis du blog. On parle un peu politique (élection présidentielle et primaire socialiste oblige), tennis, rugby, Lady GaGa, vérité générale sur les musiciens, et autres surprises… C’est drôle. On découvre encore une autre facette du chanteur, qui se révèle à chaque fois un peu plus attachant. Et puis, ce genre d’interview ça change des questions-bateaux dont j’ai horreur où il faut parler influences musicales et autres histoires qu’on connaît déjà…

Un Grand Merci à Cyril (pour la patience), Éléonore et Benoît (pour leur aide si précieuse ), le Prix Constantin (pour le partenariat)

Sabine Swann Bouchoul