Entre la crise qui nous frappe de plein fouet en pleine pré-campagne présidentielle et son lot incontournable d’accusations à coup de vas-y que j’te refile la patate chaude de la culpabilité (hier les marchés financiers, avant-hier les 35h, aujourd’hui les fraudeurs à la sécu et demain les salauds qui laissent 3 ampoules allumées en heure pleine?) les alliances bon marché, info ou in-MOX, le temps de novembre qui nous tombe enfin dessus avec sa grisaille humide et ses bronchites-grippes-trachéites-gastro à répétions, la morosité ambiante qui en découle et qui commence à se déverser par toutes les pores de cette ville tel un goudron poisseux et nauséabond, entre tout cela donc, l’air devient franchement irrespirable et je tracerai bien la tangente pour changer d’atmosphète. Atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?
Entre la crise qui nous frappe de plein fouet en pleine pré-campagne présidentielle et son lot incontournable d’accusations à coup de vas-y que j’te refile la patate chaude de la culpabilité (hier les marchés financiers, avant-hier les 35h, aujourd’hui les fraudeurs à la sécu et demain les salauds qui laissent 3 ampoules allumées en heure pleine?) les alliances bon marché, info ou in-MOX, le temps de novembre qui nous tombe enfin dessus avec sa grisaille humide et ses bronchites-grippes-trachéites-gastro à répétions, la morosité ambiante qui en découle et qui commence à se déverser par toutes les pores de cette ville tel un goudron poisseux et nauséabond, entre tout cela donc, l’air devient franchement irrespirable et je tracerai bien la tangente pour changer d’atmosphète. Atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?